samedi 15 octobre 2011

Hola Fuerteventura (9)

Bonjour tout le monde,

Avant de continuer, je vais répondre aux questions  posées sur les derniers articles.

Je ne sais pas ce qu’il en est de vols qui auraient été réservés aux naturistes. Pour notre part, le vol n’était pas une priorité. L’agence a cherché le vol le moins cher possible. Ce vol n’était pas un low-cost  même si maintenant, il y a une possibilité de partir de Charleroi. La ligne n’était pas encore ouverte lors de la concrétisation du voyage.

Le confort à bord de l’avion ? Un peu à l’étroit mais suffisant pour un vol d’une telle durée. L’accueil du personnel était impeccable. Le reste, nous n’en savons rien car pour question budgétaire nous n’avions pas réservé de repas à bord.

Je dois souligner que la priorité budgétaire était focalisée sur nos déplacements sur place et surtout notre volonté d’aller déguster la nourriture locale. Même pour l’hôtel que nous vous présenterons dans le prochain article, seule la chambre comptait n’ayant pas l’intention d’utiliser la piscine (ce qui fut le cas) et encore moins de participer aux animations. Pour nous, c’était un voyage découverte nature avant tout autre chose.
Revenons donc à nos moutons mais un grand merci pour les commentaires déposés et les mails reçus.

 Rouler à Fuerteventura est très facile mais, attention ! Les limitations de vitesse sont strictes. En cas de non respect, la police sévit. Nous avions été prévenus.


Donc, pour faire trente kilomètres, ne pensez pas que cela ne prendra qu’une demi-heure. En agglomération, vitesse limitée à 50Km/h. En ville, à 40, voir à 30. Sur grandes routes, cela varie entre 60 et 90 Km/h.

Les routes ? Pour rejoindre notre hôtel, une belle grande route asphaltée, la FV1. Pourquoi ce détail. Parce qu’à Fuerteventura, les routes, comme chez nous, portent des numéros. Vers MORRO JABLE, ce sera la FV2. Les routes secondaires asphaltées portent des sous-numéros. Par contre, nous en reparlerons, les pistes ne portent aucune indication. 


 Très vite, Annick et moi entrons en communication avec les paysages. Dépaysement total. A notre gauche, nous découvrons la beauté de la Montana Rosa. Pour Annick, le calvaire commence ! Je stationne sur le bas côté de la route, sort de la voiture appareil photo à la main et voilà les premières vues de Fuerteventura.



 Attention ! Partout sur l'île vous croisez des troupeaux de chèvres en liberté.

Nous poursuivons notre route et découvrons sur notre droite les premières vues sur la côte. Nouveaux arrêts mais, cette fois, Annick s’associe à ma démarche photographique.

A ce rythme-là, me dit-elle, nous n’arriverons jamais à l’hôtel !

Au fond de la photo, vous découvrez la côte sud de l'île de Lanzarote.

Nous arrivons alors dans le parc naturel de Corralejo et sa fameuse dune ! IMPRESSIONNANT. Nous l’avions vue en photo sur le net mais en réalité, on prend un fameux coup d’humilité face à cette belle nature.

Nous apprendrons, plus tard, qu’elle a déjà perdu 1/3 de sa superficie. Cela n’empêche rien à sa majestuosité !


 Eh oui, voilà Annick qui attaque ! Je ne serai pas le seul coupable d'un éventuel retard à l'hôtel !

 Vous avez dit grandiose !

A suivre : l'hôtel ARENA de Corralejo.

1 commentaire:

  1. Les paysages sont absolument magnifiques. De très belles photos. Mais ce qu'il doit faire chaud !

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