samedi 31 décembre 2011

C'est parti pour le réveillon !

 Voilà, je suis presque prête pour le réveillon !

Quoi, j'ai oublié quelque chose ?

Ah oui, une bonne petite coupe de champagne pour vous souhaiter un joyeux réveillon pour celles et ceux qui n'ont pas encore passé minuit et une très bonne et heureuse année 2012 pour nos amies et amis de l'autre côté du globe !

Quoi, la suite ? A voir demain car, ...

Hola Fuerteventura (28)

Revenons à notre séjour à Fuerteventura en nous arrêtant à La Oliva.

 La Oliva est en fait la capitale de la municipalité du même nom située dans le nord de Fuerteventura. La municipalité de La Oliva, qui comprend l'île de Lobos, que nous vous présenterons bientôt, a une superficie de 356,13 km carrés soit 21,5% de la superficie totale de l'île. Elle comprend aussi les villages de Tindaya, Vallebrón, La Caldereta, El Cotillo, El Roque, Los Lajares, Villaverde, Corralejo et Parque Holandes. Encore des lieux à vous présenter

Le village de La Oliva a été le centre politique de Fuerteventura à partir du début du 17ème siècle jusqu’au milieu du 19ème siècle. C’est à La Oliva que se trouve la mairie.


 Mais, ce qui frappe le plus dans le centre du village, c’est l'église principale (Parroquiade Nuestra Seiiora de Candelaria). Cette jolie église a une tour-clocher carrée et une porte finement sculpté en bois.






 A l’intérieur de l'église on peut découvrir le plafond mudéjar, une grande peinture du Jugement dernier, un tableau d'autel baroque par Juan de Miranda (1723-1805), et aussi quelques beaux trompe-1'œil.









 Houlà Annick, mal aux dents ?

 Dans le prochain article, nous vous présenterons le village de Villaverde et notre première visite d’un volcan.



Allez, ce soir, c’est le réveillon de la nouvelle année !

Bon réveillon à tout le monde et nos meilleurs vœux de bonheur, de santé et de naturisme pour 2012.

samedi 24 décembre 2011

En direct de la cuisine !

 

Hum ! Cela sent déjà bien bon ! Et quel plaisir de voir ma belle en si jolie tenue de Noël !
N'ais-je rien oublié pour ce soir ?

Peut-être ta robe car nous ne serons pas que toi et moi !

Ah oui, juste !

Joyeux Noël !

vendredi 23 décembre 2011

Lanzarote (5)

 Terminons ce beau carnet de voyage présenté par J-L que nous remercions encore pour nous l'avoir communiqué.

"En dehors de ces journées plus sportives, nous sommes allés trois fois sur la plage de Papagayo, la première fois l’après-midi. La plage était assez bondée , nous nous sommes installés à la frontière virtuelle entre textiles et naturistes , là ou il restait un peu de place.

A peine installé , notre parasol s’est soudain pris d’une envie de liberté et s’est mis à voler à 1 mètre du sol  . Je me suis précipité , nu évidemment,  à la poursuite du fuyard , sprintant aussi vite que je pouvais mais l’ingrat s’en moquait. Finalement les 2 secouristes qui surveillaient la plage stoppèrent ,juste avant la mer, le parasol que je récupérais avec un muchas gracias sonore. Je peux maintenant expliquer dans le détail ce qu’est « un grand moment de solitude…. ». 

Par la suite nous avons fait l’ « ouverture » de la plage à 9h du matin , période ou il n’y a personne. La plage se peuple alors très très doucement jusque vers 11h. Tranquillité assurée , baignade agréable , bref un choix de vie.
Une de nos excursions nous a conduits aux travers du vignoble de la Geria jusqu’à la plage de la Caleta de Famara. Le vignoble est omniprésent à Lanzarote.
 C’est une très jolie plage ou la place ne manque pas , très longue mais réputée dangereuse. Le drapeau rouge était hissé mais tout le monde se baignait . C’est aussi ce que j’ai fait sur une des parties naturistes , j’ai simplement pris garde d’avoir pied . C’est sur cette plage que l’eau était la plus chaude de toutes les plages que nous avons fréquentées à Lanzarote.

Il y a une autre petite plage à l’ouest de Caleta de Famara  . Elle est accessible via la piste après un kilomètre ,nous y avons aussi passé un moment agréable.

Quand nous sommes arrivés , nous étions pratiquement seuls. Deux jeunes femmes , bronzaient les seins nus , l’une d’elle a quitté la plage une grosse ½ h plus tard, sa séance de bronzage terminée, l’autre a enlevé le bas quand la première est partie. Une famille est arrivée ensuite , après de nombreuses  hésitations , elle a fini par s’installer à l’écart sur une partie de la plage peu praticable. Chacun fait ce qui lui plait ….. même si c’est une connerie !

Il y a aussi pas mal de piscines naturelles au bas des éboulis des nombreuses falaises de Lanzarote , mais attention , il y a lieu de disposer de l’horaire des marées car elles sont recouvertes à marée haute. Ce que j’en ai vu entre marée haute et marée basse interdit toute imprudence …..

El Golfo est un endroit magique qui mérite une visite pour ses paysages , ses petits restaurants  mais aussi pour l’olivine que l’on trouve sur le rivage.


Le port de Playa Blanca vaut bien un détour.

Cette vue aérienne d’Arrécife sonne la fin du voyage.

Le sol wallon se rapproche….

Bilan rapide et en vrac.

+ La villa
+ La possibilité de faire du naturisme quasi partout sur les plages
+ la beauté de l’île en particulier sur les petits chemins de Lanzarote profond.
+ La mer (ou plus exactement l’océan !)
+ Les randonnées
+ Les efforts pour fleurir ici une maison , là un square.
+ La gentillesse des serveurs et la qualité du service dans les restaurants .
+ Le poisson disponible dans tous les nombreux restaurants .
+ Le climat.
+ Le prix du séjour .

- Une urbanisation galopante depuis notre première visite et les conséquences de la crise sur les programmes immobiliers laissés inachevés.
- Le manque d’éducation des voyageurs dans notre avion qui ont laissé le plancher du Boeing dans un état qui fait douter du genre humain, démontrant au passage un manque de respect pour l’équipage qui ne méritait pas ça du tout.

À bientôt

J-L

mercredi 21 décembre 2011

250.000 fois MERCI.

Aujourd’hui, notre blog « le naturisme, pas à pas », fête le passage de son 250.000ème visiteur. C’est l’occasion, pour Annick et moi, de vous remercier sincèrement, bien sûr pour votre « fidélité » mais surtout pour l’intérêt que vous portez au contenu de nos articles.

Pour Annick et moi, traiter le naturisme uniquement au travers l’image saine de la nudité n’était pas notre volonté même si, nous le reconnaissons, la nudité fait partie intégrante de l’art de vie qu’est le naturisme mais n’en est pas la seule et prioritaire composante. Et pour Annick et moi, en rien une obligation, une obsession.

Dès le départ, nous avons souhaité, non pas démontrer car nous n’avons rien à démontrer, mais simplement montrer que la vie d’un couple naturiste, d’une famille naturiste, n’avait rien d’exceptionnel mis à part qu’il avait intégré cette saine nudité dans son art de vie et surtout lui donner un autre regard que celui de la nudité sexuelle.

Notre objectif était de partager, tant avec les non-naturistes qu’avec les naturismes, des instants de vie qui, souvent, sont à des lieux de cette nudité. Lors de notre voyage à Fuerteventura, la nudité a compté pour à peine 25% de notre temps.

 Nous avons aussi désiré montrer aux non-naturistes que cette nudité souvent tant décriée et parfois bafouée par les médias et certains manipulateurs ou abuseurs du mot « naturisme », est chez un naturiste une nudité simple, saine, naturelle, épanouissante, apaisante, non provocatrice, non imposée, .., en rien sexuelle.

Nous avons surtout désiré montrer que cette nudité n’est pas le seul centre d’intérêt d’un couple naturiste, d’une famille naturiste, que ce n’est pas elle qui guide notre vie. Que le naturisme s’appuie sur bien d’autres valeurs que la nudité à commencer par un terme clé : « LE RESPECT ».



De là, plusieurs axes se présentaient à nous : notre quotidien, notre passion pour l’art (le pastel, la sculpture, la photographie pour Annick, la photographie en ce qui me concerne), notre amour de la nature, notre goût du voyage autrement, notre curiosité pour le monde qui nous entoure. Et de là, comment la nudité vient s’y intégrer.

Dans le même temps, nous avons souhaité faire connaître à tout un chacun, comment on accède à cette nudité naturiste en montrant que cela n’est pas si évident que cela.

C’est là, la chose la plus importante pour nous et que nous comprenons au travers les nombreux courriels qui nous parviennent chaque semaine. Comment intégrer cette saine nudité dans nos centres de vie et comment la vivre sans indisposer celles et ceux qui ne partagent pas notre art de vie. En fin de compte, comment vivre notre art de vie en RESPECTANT les autres, à commencer par les non-naturistes.

Notre blog a alors pris le chemin de l’écoute et de l’ouverture vers les non-naturistes mais, notre joie est bien là, vers des naturistes qui restent en « questionnement » sur des sujets précis. Nous ne prenons jamais à la légère un courriel qui nous est adressé et surtout pas les questions ou les réflexions qui y sont posées. A ces questions, à ces réflexions légitimes, compréhensibles, Annick et moi avons toujours voulu prendre le temps d’y répondre sans silence, sans mensonge, sans œillère et surtout en utilisant les mots justes.

Je ne passerai pas, non plus, sous silence, l’importance de vos commentaires sur certains articles. Ils nous permettent d’alimenter le débat sur certains sujets, même ceux qui fâchent certaines et certains. Notre blog se refuse d’être un forum, un défouloir pour toute une série de personnes. Il préfère être un lieu de réflexion, d’expression saine sur des sujets qui nous touchent de près.

 Ce chemin ne s’arrête pas ici, il continue avec vous. J-L a ouvert une autre voie en nous faisant partager son carnet de voyage à Lanzarote. Nous sommes certains qu’il ne sera pas le seul et unique à le faire. Nous sommes convaincus qu’il a donné l’envie à d’autres personnes, naturistes ou non, d’en faire autant.

Non-naturistes dites-vous ? Oui, il existe des non-naturistes qui lisent notre blog pour découvrir ces lieux que nous vous présentons. Alors, ces non-naturistes sont aussi amoureux de la nature, voyagent aussi dans des lieux exceptionnels. Annick et moi ne nous rendons pas exclusivement dans des espaces naturistes. Pourquoi nos amis non-naturistes ne pourraient-ils pas nous faire part de leur carnet de voyage ?

Oui, j’entends déjà les hurlements de ceux qui sont opposés à la mixité. Mais cette mixité, pour Annick et moi, est source de richesse et surtout de compréhension des uns et des autres. Le naturisme, c’est aussi l’intégration de l’autre et non son rejet. Nous avons découvert les vertus du naturisme et de la mixité au Danemark. Là, le naturisme n’a pas besoin de panneaux, de fil barbelé pour être vécu. Le naturisme se conjugue alors avec la liberté de chacun d’en vivre ou non. Belle leçon de démocratie et de respect.

250.000ème visiteur, c’était pour Annick et moi, l’occasion de faire le point et, à nouveau, de vous remercier chaleureusement. 

Occasion aussi, pour moi, de remercier Annick qui m’offre si souvent le plaisir de la photographier dans sa nue féminité et de vous faire partager ces images naturelles de la saine nudité.

Tout simplement, MERCI et avant l’heure, nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année.

samedi 17 décembre 2011

Hola Fuerteventura (27)

 Bonjour tout le monde,

Nous avons donc quitté cette belle plage et mer agréable d'El Cotillo pour rejoindre la ville de La Oliva.

 Nous découvrons alors des paysages magnifiques mais très arides.

 Oups ! Attention ! Nous avions été prévenus du danger que représentent les troupeaux de chèvres qui paîtrent en toute liberté.

En voilà la preuve car après quelques kilomètres de route, nous sommes stoppés par un troupeau qui traverse la route.


 Pour rejoindre la bergerie là haut.

 Plaisir, pour Annick, de photographier les chèvres qui lui passent sur les pieds.

Nous reprenons la route toujours dans ces magnifiques paysages. Précisons que la route est asphaltée est en parfait état.



Nous passons à côté du village de Lajares sans nous y arrêter.


Pour entrer dans la ville de La Oliva que nous vous présenterons dans notre prochain article.

Bon week-end à toute le monde, ici, il a neigé cette nuit ! Patience, nous vous en montrerons aussi quelques photos mais il faut qu'Annick aille mettre son bobo, ses gants et son gros pull en laine !