dimanche 24 juillet 2011

Naturisme et nudité, union obligatoire ?(36)

 A l'époque, Kassos était l'une des îles les plus difficilement accessibles du Dodécanèse. Les guides faisaient savoir qu'elle serait sans doute l'une des dernières à subir les assauts du tourisme.

C'était tellement vrai que nous étions, à part un couple d'autrichien et un écossais, les seuls étrangers sur l'île à ce moment là !
 Eh oui, document d'époque, le billet de bateau entre Karpathos et Kassos. Non, ce n'était pas des euros à l'époque mais des drachmes !

 Voici, dès notre arrivée, une jolie vue sur le port de Kassos.

 Nous vous l'avons dit, pour ce voyage, la caméra VHS primait sur l'appareil photo mais, nous avons ramené une carte postale, la seule en vente à cette époque, ...

 Une jolie vue sur le port où il était amusant de voir les enfants se jeter du bord pour nager dans la mer.

 Sur la place, les vieux jouaient, à longueur de journée au backgammon.

 Ne cherchez pas le luxe, le confort, ici, tout est rudimentaire. Mais, c'est tellement beau, comme ce moulin toujours en activité.

 Et les habitants y sont accueillants, souriants.

Non, le naturisme n'y était pas "admis". Pour nous, il ne fallait pas provoquer ces gens si sympathiques. Alors, oui, un naturiste sait, en cours de voyage, respecter les habitants locaux et leurs us et coutumes.

Cela n'empêche pas de voir de beaux paysages restés sauvages.

Toujours ces petits signes de sympathie sous un costume de campagne traditionnel. Ramassage du bois séché pour la cuisson du souper, ...

Vous avez dit rudimentaire !
Naturisme, quelque part, ...

 Ouf ! Il fait chaud. Oui, respect impose le port d'un dessous de bikini. Le naturisme, ce n'est pas de la provocation, c'est pouvoir en vivre, selon les circonstances.

 Eh oui, lorsque cela est possible et ne nuit à personne, en avant pour le bronzage intégral. Mais, mon séjour sur place a laissé des traces ! J'en suis fière car je suis respectueuse, avant tout, du lieu et des gens où je me trouve.

 Enfin, un peu d'ombre. Sur cette île, la chaleur était, en journée, intense.

 Non, ce n'est pas une étable, c'est un refuge de berger.

Le soir ? Nous retrouvions la population locale pour partager, rarement, une soirée musicale.

 Oui, je l'avoue, chaque fois que cela était possible, je préférais un bon bain de mer sous la lueur du coucher de soleil.
Thalasso gratuite, ...

 Hum ! Cette liberté maritime est vivifiante à souhait !

Il est maintenant temps, pour nous, de rentrer au pays. Nous laissons la Grèce derrière nous, avec beaucoup de regrets.

Pour aller à la découverte des Alpes au travers une belle randonnée dans le massif des Ecrins.

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