vendredi 30 novembre 2012

Les potiers d'Uzech vous invitent !

Bonjour tout le monde,

Nous vous avons déjà parlé des potiers d'Yzech, ce petit village qui se situe dans le Lot, en France.

Nous leurs avions rendu visite lors de notre séjour dans cette région, en 2009.

C'est avec plaisir que nous vous publions l'invitation que nous venons de recevoir.

"Bonjour,
rendez-vous ce dimanche 2 décembre pour le marché de noël d'Uzech.
De 10h à 19h, nous vous attendons à l'Oulerie et la Remise.

Ce sera l'occasion pour vous de trouver des cadeaux de Noël originaux
et de découvrir les œuvres d'artisans locaux. (poterie, travail du fer et 
du verre, des bijoux, des peintures etc....)

Les potiers d'Uzech restent, quant à eux, ouverts en cette
arrière-saison, vous pouvez les retrouver dans leurs ateliers 
du mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30.

A très bientôt
les potiers

-- 
Les potiers
www.poterie-uzech-artisanat.com

L'Oulerie    n° 06 14 70 96 91
La Remise n° 06 81 58 36 48

mardi 27 novembre 2012

Buenos dias La Gomera - La Palma (9)

 Bonjour tout le monde,

Notre manière de voyager n’est pas toujours sans danger.

En effet, nous voyageons en solitaire ce qui fait que personne ne sait où nous partons durant la journée. Le gîte à cela de particulier lorsque les propriétaires n’y habitent pas ou vous laissent tranquille.

L’autre particularité est l’importance du matériel photographique que nous déplaçons et qui, malheureusement, attire certaines personnes aux intentions pas très fraternelles. Je soulignerai que cela est constant, même chez nous.

C’est ce qui s’est produit lorsque nous nous sommes rendus sur la plage de la Caleta, isolée dans le parc national de Majona.


 Vous accédez à cette plage par une route très étroite où, par endroit, deux véhicules ne peuvent se croiser. Elle est parfaitement goudronnée mais traverse sur des kilomètres, des paysages désertiques où il n’y a pas une âme qui vit !



 Nous y sommes arrivés, comme d’habitude, assez tôt le matin, vers 10 heures. Pas une voiture sur le vaste parking, pas un chat et encore moins un être humain à l’horizon. Nous étions seuls, Annick et moi et heureusement, le temps était très couvert et la mer très agitée.

Je dis heureusement car il ne donnait pas tellement envie de se faire bronzer nu sur la plage, encore moins de s’y promener nu. 

Voici la plage vue du parking.

On y accède par une longue volée d'escaliers.

Voici la plage.



Nous étions, chacun de notre côté de cette grande plage, en train de faire de la photo lorsque deux hommes à la mine pas très rassurante, se sont présentés à la rambarde du parking, juste à côté de notre voiture de location.

Je ne les ai vu qu’à partir du moment où ils sont descendus pour se diriger vers Annick qui était très loin de moi. Voyant cela, je me suis immédiatement rapprochée d’elle, ce qui a eu pour effet d’éloigner les deux individus. Mais, sans qu’ils s’en aillent.

Nous avons continué à faire nos photos, l’un à côté de l’autre mais, l’attitude de ces hommes ne nous rassuraient pas car ils épiaient nos moindres gestes. Nous avons alors décidé de retourner à la voiture et de nous en aller.


C’est là que nous avons compris leur intension.
Pendant que je me dirigeais vers ma portière et qu’Annick en faisait de même de son côté, un homme se dirigea vers moi, l’autre vers Annick. Nous avons juste eu le temps d’entrer dans la voiture et de verrouiller les portières et de démarrer.

Fou ! A peine arrivé dans la côte qu’une grosse cylindrée blanche nous colle au pare-choc ! J’accélère sur cette route sinueuse et dangereuse par ses ravins mais rien n’y fait.

Heureusement, dans un tournant, je me retrouve nez-à-nez avec une voiture. Le chauffeur me laisse passer mais comme j’avais légèrement décroché mes poursuivants, la voiture reprend la route.


Il fallut quelques minutes avant que mes poursuivants nous rejoignent mais, pas de chance pour eux, nous rentrions dans les faubourgs habités d’Hermigua.

Nous venions d’avoir une solide frayeur !

Nous avons toujours voyagé de cette façon, comme nous pratiquons souvent notre naturisme à deux, loin des sentiers battus. Nous aimons les endroits sauvages, les plages isolées. Mais là, le danger est double en ce qu’il implique, au-delà du matériel photo, notre nudité. 

A suivre, ...

vendredi 23 novembre 2012

De belles demoiselles nues !

Bonjour tout le monde !

Il y avait longtemps que je ne vous avais plus montré mes belles demoiselles nues au saut du lit.

C'est aussi cela le naturisme, savoir admirer la beauté de la nature.

Ces photos ont été prises toutes au même endroit, chez nous, à la maison, de la fenêtre de notre chambre.

Bon plaisir des yeux et bon week-end.




jeudi 22 novembre 2012

Est-ce un privilège ?

Bonjour tout le monde.

Je vous délaisse quelque peu mais la concrétisation de plusieurs projets arrive à terme dont, le livre photographique d'Annick.

Il y a 25 ans, en mai 1987, j’ai eu le privilège de concrétiser le rêve de ma meilleure amie Annick, devenue depuis mon épouse : celui d’être photographiée intégralement nue.

Mais est-ce vraiment un privilège ?

Pour ma part, incontestablement.

C’est un immense privilège parce que c’est une Femme qui vous confie la mission de concrétiser un rêve imposant : vous confier, pour la première fois de sa vie, sa nudité pour que vous la traduisiez en photographie.

C’est un privilège parce que dès cette demande qui est déjà une importante démarche en soi, vous entrez dans ce qu’Annick appelle joliment « une relation intime, duelle et privée ».
« Intime », non pas au sens de la nudité mais au sens de la démarche personnelle. Avant même d’oser me formuler sa demande, il y a eu chez Annick un long cheminement de pensée, de face à face avec elle-même, de questionnement intérieur. Et moi, je vais y pénétrer par la porte duelle, ce face à face qui est maintenant entre Annick et moi.

Et le questionnement intérieur d’Annick devient alors un dialogue riche entre elle et moi. Un fabuleux privilège que la photographie ne montre pas. C’est là que le relationnel privé commence parce que ce qui se dit entre Annick et moi n’appartient qu’à nous deux et à personne d’autre. Sauf, si, comme avec vous, elle m’y autorise, à titre de témoignage.

Le privilège suprême n’est pas de découvrir la nudité d’Annick mais bien d’immortaliser cet instant unique de sa première mise à nu photographique. De cet instant, il n’y aura qu’une photographie qui ne montrera pas le temps entre l’arrivée sur le lieu de la prise de vue et la prise de vue en elle-même et toutes les hésitations qu’elle a suscitée au dernier moment.

C’est alors  un privilège parce que cette nudité dévoile une personnalité, des émotions que l’habit cache. C’était un véritable privilège de pouvoir traduire en image cette émotion extraordinaire qui s’extrayait de toute la nudité d’Annick, cette émotion unique de celle qui passe de l’habit à la nudité en permettant à un photographe de l’immortaliser ! Parce qu’être nue est déjà une chose, être photographiée nue en est une toute autre.

Lorsque je regarde, 25 ans après, le premier nu que j’ai réalisé d’Annick, je me rappelle chaque minute de cette séance de pose au bord de l’eau. 

Il est tout à fait facile d’y lire ce que ressentait Annick à cet instant. La tension qui régnait en elle. Ce passage d’un monde à l’autre. Et ce que vous ne voyez pas, et qui est un autre privilège pour le photographe, c’est l’impatience qui fut la sienne d’en voir le résultat et la joie de recevoir , de regarder et de commenter avec moi ses photos !

Le privilège est donc un tout, un ensemble d’éléments humains, profondément humains. 

Parce que la photographie est un arrêt sur image. Mais elle n’est qu’une partie d’un ensemble beaucoup plus vaste qui commence au moment où Annick m’a dit « j’aimerais posséder des photos de moi entièrement nue mais, … » et qui se terminera lorsqu’elle en aura décidé.

Ce privilège est-il toujours d’actualité dans cette relation photographique entre Annick et moi ?

Oui ! Même si nous sommes aujourd’hui  mariés depuis 22 ans. Les questionnements variant avec le temps qui passe mais sont bien présents.

Parce que dans notre approche photographique naturiste, je ne suis qu’un témoin photographique de l’émotionnelle nudité d’Annick. La photographie naturiste ne peut pas être mise en scène, elle doit garder le caractère naturel de la nudité dans l’espace où elle se vit. Le photographe est alors un regardant, un observateur, un témoin. Pas un intervenant. Il jouera alors sur son savoir-faire, son savoir-être pour traduire dans de belles images, ce qu’il voit de cette nudité dans son environnement temporel.

Si vous prenez l’exemple de cette récente photographie d’Annick réalisée sur la plage de Solapa sur l’île de Fuerteventura, cette photographie transpire la sérénité, la douceur, la sagesse, la maturité.

Si vous prenez celle-ci qui a été réalisée aux Routelles en 1992, elle transpire tout l’amour qui existe entre une mère et son enfant mais aussi toute la quiétude et le naturel de la nudité partagée.

Il est bien là le privilège, celui de pouvoir être le témoin de ces instants et de pouvoir les photographier tels qu’ils sont, sans plus.

Avec le privilège de pouvoir vous présenter ces photos et non de les garder secrètement dans un album souvenir. C’est un privilège, pour un photographe, de pouvoir exposer ce qu’il réalise en ce domaine particulier.


Mon dernier privilège et non des moindres, est de pouvoir aujourd’hui continuer à photographier Annick nue, du haut de ses 56 ans. Elle n’a pas renié sa nudité, encore moins le plaisir que je la photographie nue. Mon privilège est,  surtout, qu’elle a décidé qu’aujourd’hui, j’étais le seul à pouvoir continuer à la photographier nue.

Peut-être parce que mon regard photographique sur sa nudité n’a pas changé depuis 25 ans et que mon plaisir de la photographier nue reste aussi intense qu’il y a 25 ans.
Et je peux vous assurer que ce plaisir est réel et comme je l’ai dit à Annick, il y a 25 ans, surtout ne te rhabille jamais et laisse-moi immortaliser en photographie, sa beauté simple et naturelle.

Je renvoie à mon ami le photographe Jacques LEINNE sa citation : « A tout âge il existe en la nudité féminine une beauté qu’il nous appartient de savoir extraire ».

Je suis donc bien un photographe privilégié ayant pour modèle, une Femme exceptionnelle qui m’a offert ce privilège sans jamais me le retirer.

vendredi 16 novembre 2012

25 ans de naturisme en 98 pages !

 Bonjour tout le monde !

Quelle superbe surprise m'attendait en rentrant à la maison hier !

Mon petit photographe de mari m'a offert un livre photo reprenant en 98 pages et au travers pas moins de 120 photographies, mon parcours naturiste depuis 25 années.

 En effet, voici ma première photographie naturiste réalisée au mois de mai 1987. Ouf, je n'en menais pas large mais, je savais que ma vie allait changer, en bien.

Et voici une photographie de ma petite personne réalisée en septembre 2012 lors de notre séjour à La Palma.

Ce livre me replonge au Danemark, aux Pays-Bas, en Grèce, en France (Lodève, Veille Saint-Giron, Les Routelles, la Vendée, Au Champ de Guiral), dans les îles Canaries mais aussi dans des moments de vie particuliers comme ma deuxième maternité ou tout simplement à la maison.


 "Je désirais, au travers ce livre, rendre un grand hommage à Annick qui, pas à pas, à fait du naturisme son art de vie, notre art de vie familial. 

Je souhaitais aussi mettre en valeur la beauté naturelle de la nudité naturiste en la remerciant de m'avoir laissé la photographier en toutes circonstances.

Ce livre n'est pas une fin en soi. Il n'est qu'une étape qui marque 25 années de vie axées sur un naturisme familial quotidiennement vécu.

En précisant que je prends toujours autant de plaisir à photographier Annick nue aujourd'hui qu'il y a 25 ans.

Je remercie Annick de m'avoir offert pendant toutes ces années sa nue féminité pour en extraire des images qui rendent hommage à la Femme.

Et dès demain, mon appareil photo aura le plaisir de continuer à la photographier nue dans ces moments de vie naturiste. "



vendredi 9 novembre 2012

Buenos dias La Gomera - La Palma (8)

 Bonjour tout le monde,

Aujourd'hui, j'aimerais vous expliquer comment se passe une journée de voyage pour Jean-François et moi.

Au lever, petit déjeuner copieux.

Et à La Gomera, nous avons la chance d'être à l'est et donc de pouvoir admirer le soleil levant.

Ici, de la terrasse du gite, nous admirons la vallée d'Hermigua mais, à l'horizon, le volcan El Teide sur l'île voisine de Tenerife.

Le spectacle est différent chaque matin.

 Ensuite, rien de telle qu'une bonne douche pour se réveiller.




Avant de partir, il faut mettre sécher les essuies !

Alors, en route pour la découverte de l'île avec un endroit différent à voir chaque jour.

 Sur le chemin du retour, arrêt aux halles couvertes de San Sebastian.

Rien n'y manque, à commencer par la viande qui nous avait tellement manquée à Fuerteventura.

Comme vous pouvez le voir, le choix est vaste.

De même pour les fruits et légumes provenant des producteurs locaux.

Il est vraiment agréable de se promener dans ces halles, en fait, de vivre aux côtés de la population locale.


 Oui, arrêt à notre petit bistro du coin.
Une bonne Dorada bien fraîche fait du bien.

 Ouf ! Le look de mon petit photographe ! Mais, je le surveille et pas question qu'il apprenne l'espagnol autrement qu'avec moi !!!

 Petit coup de téléphone aux filles pour voir si tout va bien à la maison.

Allez, en route pour le retour au gite.

 Préparation du repas ! Hum, la bonne omelette !

Et puis, évidemment, petite sieste au soleil. Mais, ici, en monokini car les propriétaires sont juste à côté et il y a une fenêtre qui surplombe la terrasse. Pas de provocation inutile.

Au soir, petite baguette avec le fromage local qui est un véritable délice. De même que le vin local !

La nuit est tombée mais il fait toujours chaud .
Même s'il y a une télévision dans le gite, rien de tel que de vivre avec la nature et de profiter de ma soirée sur la terrasse.

Après, au lit car il faut être en forme pour le lendemain.

Vous voyez, ce n'est pas de tout repos mais c'est quand même des vacances.

Belle journée à vous !