lundi 28 avril 2014

Joyeux anniversaire à ma muse nue.

Je souhaite un très joyeux anniversaire à ma muse nue en ayant toujours cet immense plaisir de la contempler et surtout la photographier en sa sublime nudité.

vendredi 25 avril 2014

Attention ! Dans quelques instants, on va décoller !

Bonjour tout le monde,

Un régal, ce mercredi, en bord de Sambre à Aulne (Belgique).
Durant une heure, j'ai suivi ce héron pour vous faire partager des instants magiques !

Belle journée à vous.










jeudi 24 avril 2014

Epilation, piercing, tatouage ? Parlons-en ! (6)

Etre photographiée nue durant cette recherche de l’image de ma nudité m’a apporté une véritable confiance en moi, en ma nudité. A chaque occasion de poser, je prenais un immense plaisir, plaisir que je rencontre encore aujourd’hui avec la même intensité, de me dénuder et de me laisser photographier. Car ces photographies n’appartenaient pas à mon regard sur ma nudité mais à celui de Jean-François. Ce qui n’est pas la même chose.

Ces premières séances avaient toujours lieu en extérieur, dans la nature, aux lacs de l’Eau d’Heure. Sans le savoir, je découvrais les joies du naturisme car j’adorais être nue en cette nature ! Lorsque Jean-François me disait : « on va promener aux lacs », mon sang ne faisait qu’un tour. J’enfilais une petite robe sans rien dessous pour avoir facile à me dénuder. En promenade, dès qu’un lieu me plaisait et qu’il n’y avait personne pour me voir, je me dénudais, sans que Jean-François ne me le demande.

Une fois nue, plutôt que de poser, j’errais à mon envie et Jean-François photographiait ces instants d’évasion. Au point qu’après quelques séances, ma nudité était devenue tellement naturelle pour moi que je n’y pensais plus. Et je me sentais bien, nue, à ses côtés. Ces séances étaient de véritables moments d’évasion et de valorisation pour moi.


L’autre plaisir était alors d’attendre avec impatience que Jean-François m’apporte mes photos. C’était la joie de l’argentique : attendre le résultat ! Il l’a écrit souvent, que je regardais avec lui en étant nue car j’avais adopté la nudité en mon appartement. Et que lui, mon ami et confident, à ma demande, m’aidait, au-delà de la photographie, à me familiariser à être nue en sa présence. 

C’était génial de les regarder ensemble, de les commenter ensemble. Parler de ma nudité en toute normalité. Parler, oui, de son image sans silence. C’est alors moi qui posais les questions et il me répondait sans détour. C’était très valorisant.

A suivre, ...

mardi 22 avril 2014

Un complexe naturiste aux lacs de l’Eau d’Heure !!! 5 ans après ? (2)

Bonjour tout le monde,
Mais en 2011, les télévisions et la presse inféodée au parti politique du ministre porteur du projet immobilier, avaient chaussés les bottes pour aller montrer le lieu ! On allait voir ce qu’on allait voir !
Pour voir la vidéo de l’espace concerné, c’est ici : http://www.dailymotion.com/video/x13qlbw_des-naturistes-aux-lacs-de-l-eau-d-heure_news 

Le silence de la fédération belge de naturisme en disait déjà long ! J’allais même être convié à une réunion entre monsieur BROHEE et les représentants de cette fédération. Plus de nouvelle de cette réunion. Le silence, pour ne pas dire l’absence totale de la fédération francophone du naturisme est éloquent ! Comme si le naturisme en Wallonie était mort ou en léthargie ! Je pense que ce sont les deux !

Pourtant, le ministre à cette époque écrivait ceci ; "En premier lieu, je rappellerai à l'honorable membre que ma politique en matière de naturisme repose notamment sur le fait qu'il s'agit d'un segment de marché largement exploité par d'autres destinations européennes ainsi que par la Flandre, et qu'afin d'y répondre, mon objectif est de proposer en Wallonie : 
- un certain nombre de centres de balnéothérapie couverts/ouverts à proximité des grandes agglomérations comme il en existe au moins 5 aux environs de Bruxelles (château de Boetfoort, Grimbergen, Hal etc) en partenariat public - privé ou en association avec des pouvoirs locaux. 
- un camping ou centre naturiste par province en partenariat avec la fédération belge de naturisme en particulier. 

Le naturisme perd son âme, est livré sans réaction à un business politique et immobilier. Comme à Bredene où les vrais naturistes ne mettent plus les pieds car c’est devenu un bordel à ciel ouvert ! Sous le couvert « plage naturiste », on a fait Bredene/Cap d’Agde ! Et le bourgmestre est content !

Cela devient un naturisme de complaisance là où nos voisins des Pays-Bas démontrent que le naturisme peut être respecté dans son âme profonde ! Et vécu naturellement au milieu de tous ! Ce n’est pas pour rien que l’on y trouve énormément de naturistes belges !

Messieurs les politiciens, messieurs les investisseurs, les vrais naturistes ne sont pas des pigeons ! On n’a pas besoin de votre « naturisme ». On a d’autres attentes, plus simples, plus naturelles, moins couteuses !


Et à ce ministre grand prometteur de bonjours, venez passer une journée dans un club naturiste pour en connaître les bienfondés ! Et si un jour vous inaugurez ce « complexe naturiste », dont nous n’avons pas besoin, j’espère que les journalistes, les invités, les représentants des associations naturistes, Vous, …, serez en habit de peau ! 

lundi 21 avril 2014

Un complexe naturiste aux lacs de l’Eau d’Heure !!! 5 ans après ? (1)

Bonjour tout le monde,

Qui vivra verra !

En juillet 2009, je donnais mon avis sur le projet de réalisation d’un COMPLEXE (non d’un centre) naturiste aux lacs de l’Eau d’Heure, en Wallonie, Belgique.

Récemment, un naturiste me disait : « aux lacs de l’Eau d’Heure, rien n’y est encore organisé ». Et pour cause !!! Je le dénonçais en 2009. Mais, …

Le ministre en charge du dossier répondait ceci, en 2011 : « Je souhaite ajouter qu'à ce stade, aucune décision n'est prise, ce dossier n'en étant qu'au seul stade de l'étude. »

Voilà ce que le politico-business qui veut faire du pognon sur le naturisme, sans rien y connaître, a pour résultat !

Il y a un homme qui veut se faire du pognon sur le compte des naturistes en voulant créer un « complexe naturiste » en cet endroit. Il y a un politicien wallon qui trouve l’idée géniale pour se faire bien voir par l’électorat naturiste en pleine campagne électorale ! Et il y a la région wallonne qui ne sait pas trop quoi faire d’une ferme plantée au milieu de nulle part et qui ferait, peut-être bien l’affaire. C’est comme en cuisine, les ingrédients sont là mais, il manque le cuisinier !

Aujourd’hui, en avril 2014, cinq années plus tard, où en sommes-nous ?
Plus personne n’en parle ! Le lieu est mort de chez mort ! La plage est où ? Le chemin d’accès, forestier, est impraticable ! En fait, rien ne bouge ! 

Pour preuve, nous y sommes allés hier.



Voici le chemin forestier pour accéder à la ferme mais aussi à la plage !





Voici la plage ! !!
Mais, vous constaterez qu’elle est en bord d’une route accessible à tout le monde !

Bonjour les voyeurs et autres détraqués !


A suivre, …

jeudi 17 avril 2014

Naturisme et famille (48)

Bonjour tout le monde,

Continuons notre récit sur notre naturisme pas à pas.

 Mais nous nous rendions à l’évidence que pour le confort d’Annick et de Coralline, il serait mieux de louer un chalet dans un espace naturiste que de passer trois semaines de vacances sous la tente. Momentanément.

Le questionnement d’Annick se remit en route. Vivre dans un tel espace pendant trois semaines est totalement différent que de passer quelques heures sur une plage naturiste ! 

Annick me faisait remarquer que nous avions toujours voyagé à deux sans jamais trop côtoyer les gens. Encore moins lorsqu’il s’agissait de vivre nus. C’était le cas au Danemark où nous étions loin de toute vie humaine pour pratiquer notre naturisme. C’était le cas en Grèce où nous dormions sur des petites plages désertes. Que dire des Ecrins où nous dormions là-haut, seuls. Mais, c’était aussi le cas aux Pays-Bas, sur la plage de Groede où Annick s’était accoutumée à la nudité collective mais sans fréquenter les autres personnes. Problème de compréhension de la langue.

Ce qui « chagrinait » Annick était le problème de la proximité et de la durabilité. Nous allions côtoyer les mêmes personnes nues du matin au soir pendant plusieurs jours, ce qui n’a jamais été le cas. Nous allions dialoguer avec ces personnes en étant nus ! Ce qui est très rarement le cas à la plage. En fait, nous allions faire connaissance avec d’autres personnes nues avec lesquelles nous allions partager nos vacances pendant trois semaines. 

Pour Annick, sa nudité allait donc être portée à la connaissance des autres d’une manière plus proche, plus « familière » et répétitive. Et dans des circonstances de vie autres qu’à la plage. Annick me disait en lisant les articles de cette revue naturiste : « tu te rends compte que nous allons aller faire les courses nus, que nous allons aller prendre un verre à la terrasse ou au bar en étant nus, que nous allons aller, tous les jours, au bord de la piscine nus, que nous allons toute la journée nous balader nus, qu’en fin de compte, nous allons tout faire nus ? ».

Je comprenais la portée de son questionnement avec la chance d’avoir déjà vécu, avant de la connaître, la vie en centre naturiste. J’ai alors démystifié par des mots simples cette proximité, cette durabilité en lui faisant remarquer que si elle était nue, tout le monde autour d’elle l’était aussi. Que cette nudité était partagée en toute simplicité, naturellement, sans être l’objet de convoitise. Qu’en fait, cette nudité ne faisait pas l’objet d’une attention particulière d’autrui car elle est intégrée dans le paysage. En fin de compte, comme à la plage.


Sans être convaincue, elle accepta de tenter l’expérience. Mais dans un petit centre de vacances et non dans ces usines « naturistes ». 

A suivre, ...

mardi 15 avril 2014

L'air de rien.

Bonjour tout le monde,

Vous le connaissez, je le photographie régulièrement. Mais, hier, c'est une petite démonstration de poseur qu'il m'a faite.

Pour le plaisir des yeux !









Belle journée à vous !


jeudi 10 avril 2014

Qué tale Lanzarote (26) ?

 Bonjour tout le monde,

Heureuse, très heureuse. Les derniers examens médicaux de contrôle que je viens de passer sont très rassurant sur l'évolution de mon état de santé ! Ouf !

Alors, chose promise, je vous emmène dans une ancienne carrière de lapilli (cendre volcanique).

Celle-ci se trouve à mi-chemin entre Guatiza et Teseguite.

Le spectacle est magnifique et je vous le laisse découvrir au travers nos photos.







Je vous souhaite une belle journée.