vendredi 31 décembre 2010

Bonne année 2011.


A toutes les Femmes et les Hommes de cette planète, d’où qu’elles et ils viennent, nous vous souhaitons nos meilleurs vœux de bonheur, de paix, de santé et de prospérité pour cette année qui s’ouvre aujourd’hui, à des heures différentes pour toutes et tous les lecteurs de notre blog.

Notre blog, en 2011, continuera à être le lien respectueux entre les naturistes et les non naturistes pour faire comprendre à toutes et à tous que ce sont les différences, la tolérance et le respect mutuel de chacune et de chacun qui font la richesse de notre Humanité.
Annick et moi remercions toutes celles et ceux qui visitent notre blog, toutes celles et ceux qui nous envoient des messages privés d'encouragement, toutes celles et ceux qui n'hésitent pas à nous interroger sans tabou sur cet art de vie fantastique, épanouissant, sain qu'est le naturisme.
Grâce à elles et à eux, nous pouvons montrer que le naturisme est un art de vie valorisant et respectueux de toutes et de tous.
Annick et moi, vous souhaitons de fêter dans la joie et la bonne humeur ce passage dans une décennie nouvelle, en ayant une pensée particulière à toutes celles et ceux qui n’ont pas notre chance d’en faire autant.

Bienvenue en 2011.

jeudi 30 décembre 2010

Oser contempler le corps nu. (3)

« Vous écrivez « ...je peux errer dans tous les registres du nu... » Qu'entendez-vous par là ? »

Cette question posée par Laurent recoupe un sujet en cours d’exposé dans la rubrique « naturisme et photographie ».
Même si elle sort du contexte naturiste, je tiens à y répondre.

Annick sur son blog artistique explique ce qu’elle appelle « ses nudités ».
Elle les compte au nombre de trois : sa nudité naturiste, sa nudité artistique en tant que modèle et sa nudité sexuelle. Ses trois nudités ont chacune leur raison d’être et leurs propres frontières. Elles n’ont comme point commun que la nudité de la personne. Pour le reste, elles sont totalement distinctes et hermétiques et ne se vivent pas dans le même espace-temps.

En photographie, comme en peinture ou en sculpture, le nu se conjugue aussi dans plusieurs registres.
























- Il y a le nu naturiste qui représente des instants de vie, nu(e). Ce sont les photos que je vous présente sur ce blog et je le détaille en profondeur dans les articles « naturisme et photographie ».

- Il y a le nu artistique qui requiert de rechercher la pose idéale et une certaine « sophistication » (lumière, technique, …) pour mettre en somptuosité la nudité. Comme cette photographie que j'ai réalisée de "Clair de Lune".
- Il y a le nu « intimiste » comme le charme, l’érotisme, le fétichisme. Dans ces registres, la nudité peut être totale ou partielle.
La nudité est alors « séductrice et/ou suggestive » sans pour autant être sexuelle. Pour ma part, la nudité sexuelle est active ce qui n’est pas le cas du nu « intimiste ».

- Il y a le nu émotionnel.
C’est un registre que j’aime beaucoup aborder.
A une exception près, mes modèles sont des Dames qui posent nues pour la première fois.
Dans ce cas, le nu est émotionnel dans le sens où je fige sur la pellicule l’émotion de la personne qui se retrouve nue, pour la première fois, devant un objectif, plus précisément devant un artiste qui va transposer sa nudité en image.

C’est l’expression du visage plus que du corps nu qui exprime cette émotion. C’est aussi la position du corps qui est alors intéressante. En réalité, c’est la réactivité de la personne face à sa nudité exposée à autrui. Et cette nudité est naturelle, pas « manipulée » au sens où la modèle n’est pas guidée dans la pose mais qu’elle pose comme elle le sent.

Je la laisse agir par rapport à elle, pas en fonction de moi. Le photographe apporte alors un témoignage d’un instant de vie particulier, d’un franchissement de cap.
- Il y a enfin, le nu sensoriel.
Il se focalise sur la représentation des sensations que ressent la modèle par rapport à l’espace dans lequel elle évolue, cet espace changeant d’une séance de pose à l’autre. C’est une étude photographique du moi intérieur extériorisé, de la réaction de la modèle face aux éléments, aux situations.

Le nu intime et sensoriel, je ne l’explore qu’avec Annick sur base de nos inspirations et cercles de vie. Ces registres du nu n’appartiennent pas au nu naturisme et ce type de photographies n’a dès lors pas sa place sur ce blog. Non pas qu’elles soient inconvenantes, loin de là, elles font partie de plusieurs de mes expositions, mais parce qu’elles sortent du cercle naturiste et qu’il ne faut pas laisser prêter à confusion en faisant penser au visiteur d’un site naturiste que le naturisme, c’est aussi cela.
J’ai toujours écrit qu’il ne fallait pas mélanger les cercles de vie, ce qui n’empêche pas d’en parler.

Je ne l’explore qu’avec Annick parce qu’en ces registres, il ne s’agit pas d’un jeu de rôle, d’un simulacre mais bien de moments pleinement vécus pour que les photographies soient authentiques.
Pour ce faire, il faut qu’Annick soit libre d’esprit et surtout libre de ses faits et gestes.
Il faut aussi une compréhension réciproque des actes posés pour qu’il n’y ait pas de ma part création d’une ambiguïté par rapport à ceux-ci. Et donc, faire passer un message contraire à celle ou celui qui va regarder les photos.
La force d’être marié depuis tant de belles années permet de réaliser des photographies correspondantes à l’état d’esprit d’Annick, à sa manière de voir et de vivre les choses.

Le photographe que je suis se fait alors « absent » pour laisser Annick agir selon ses sensations. Mon attention ne se focalisant pas sur Annick en tant que telle mais sur l’image qu’elle m’envoie, sur l’inspiration qu’elle me procure. Ma volonté de faire de ce que cette image me donne comme message, des images baignées de ravissement et de vérité donnant plaisir à celles et ceux qui les regardent.

Enfin, quel que soit le registre dans lequel j’entre photographiquement, je suis toujours très attentif à rendre l’image recherchée, élégante, noble, et lorsque je suis dans des registres « intimistes » ou sensoriels, je recherche l’image qui porte à la réflexion, qui crée l’imagination plutôt que de montrer banalement les choses.

Voilà pour répondre à Laurent.

Les voeux du Champ de Guiral.



Merci à Monique et Joël pour leurs voeux.

mercredi 29 décembre 2010

A table !

Bonjour à toutes et à tous !
L'hiver est bien présent et nous ne pouvons oublier nos amies les bêtes surtout celles que nous suivons depuis des années le long de la Sambre à l'Abbaye d'Aulne.
Les habitués de ce blog les connaissent pour ne plus devoir les présenter.

Salut Annick ! J'arrive, j'ai faim !

Merci Annick, aujourd'hui, je suis gentille je me sers dans ta main.


Non, tu n'as rien à craindre, je ne vais pas te mordre.


Eh ! Attendez, j'arrive aussi.
Oufti, c'est pas facile de monter avec toute cette neige ! Vivement le printemps !


Allez encore un effort Nestor !
























Voilà ! Je suis un champion !


Bonjour Papy, tu as quoi pour moi aujourd'hui ?


Du pain ! C'est toujours cela mais je croyais que tu avais encore un peu de foie gras après la Noël !
Oui, du foie gras d'oie !
Ah non ! De canard d'accord mais pas d'oie !

Annick ! Ils se battent dans l'eau !




Je n'en ai rien à faire, je m'occupe des autres. Un peu de discipline quand même !


Merci Annick pour ce bon déjeuner !


Merci Annick ! Tu peux souhaiter une très bonne et heureuse année 2011 à toutes tes amies et tous tes amis naturistes ?
D'accord. Et à toutes et tous les autres aussi !
A bientôt !
oui, ne nous oublie pas, on a faim par ce temps de canard !












mardi 28 décembre 2010

Canal historique du Centre (5)

L’ascenseur n°1.

Il se situe à Houdeng-Goegnies, à 263 mètres du point zéro et à cent mètres des portes de garde que nous vous avons présentées dans notre dernier article sur ce sujet.

Il est en cote amont 125,15 mètres au-dessus de la mer et va reprendre une chute de 15,397 mètres.

Sa construction a demandé quatre années de travaux.
C’est le Roi Léopold II qui l’inaugura le 4 juin 1888.

Aujourd’hui, comme je l’ai déjà précisé, il est à l’arrêt à la suite d’un accident survenu en 2002.
Il fait l’objet d’importants travaux de rénovation pour le rendre, à nouveau, utilisable surtout pour la navigation de plaisance.

A suivre, la cantine des Italiens.

dimanche 26 décembre 2010

Oser contempler le corps nu. (2)

« Il m'est aisé d'apprécier la plastique d'un corps beau. Cela l'est moins pour une enveloppe difforme. Avouons qu'en la personne d'Annick vous avez un formidable modèle. N'est-ce dès lors pas plus facile de trouver le corps nu (féminin ?) agréable à regarder ? Qu'en pensez-vous ? »

Pour répondre à la question de Laurent, il faut garder l’article dans son contexte artistique. Même s’il y a une similitude avec la nudité naturiste en ce qu’elle n’a pas de connotation sexuelle. Lorsque l’on retire à la nudité sa connotation sexuelle, on peut la regarder comme un paysage et sans détour du regard.

Annick et moi ne travaillons que le corps féminin nu.
Pourquoi ? Question d’inspiration. Au même titre qu’on aime ou on n’aime pas la musique classique. Mais, ce que j’écris sur le corps féminin nu vaut pour le corps masculin nu.

Alors oui, j’ai en Annick un formidable modèle dont le corps nu est agréable à contempler et à photographier.
Avec l’avantage que le temps fait que je connais ce corps parfaitement et que je peux dès lors en extraire plus facilement ses émotions et ses transformations.

Au-delà, j’ai l’avantage de connaître ses sensibilités et je peux grâce à cela, la photographier lorsqu’elle est joyeuse ou triste ou mélancolique.

Le dernier avantage et non des moindres, c’est qu’avec Annick, je peux errer dans tous les registres du nu. Ce que je ne fais pas avec mes autres modèles.

Cela n’empêche pas que tout corps nu, quelle que soit « l’enveloppe », peut être contemplé et photographié ou peint, ou sculpté. C’est aussi une similitude avec la nudité naturiste qui ne s’appuie pas sur des critères de beauté et d’âge.

Ceci dit, il appartient à l’artiste de tenir compte de deux éléments :

1. Faire sien du désir de la Dame de poser nue.
Ce désir de la Dame est important.

Il y a toujours derrière ce désir de poser nue une raison qui appartient à la Dame et cette raison diffère toujours d’une personne à l’autre.

Ne pas tenir compte de cette raison, c’est passer à côté d’un élément fondamental à la séance : la joie, pour la Dame de concrétiser son désir.
Avec tout ce que cela comporte et que j’écris dans les articles « naturisme et photographie ».

En tenant compte de la raison du désir de poser nue, vous aurez une modèle plus expressive, plus communicative, plus « elle ».
Quelque soit son physique et son âge.

J’écris souvent que l’artiste est un concrétisateur de rêve avant tout chose. Les premiers mots d’Annick à ce sujet n’était-il pas : j’ai toujours rêvé de poser nue !
J’ai été très heureux de lui avoir permis de réaliser ce rêve. C’est un élément important que nous, artistes, ne pouvons ignorer.

2. Faire de ce corps nu offert à vous, une œuvre agréable à regarder.
Un ami photographe aime dire qu’en tout corps nu il y a une beauté qu’il nous appartient de capter et de reproduire avec magnificence.

Et il ne faut pas croire que le fait d’avoir une belle plastique rende plus facile, pour la Dame, de poser nue.
Quelle que soit cette plastique, poser nue n’est pas toujours aussi facile qu’on le croit.
Comme pour la pratique du naturisme, cela s’acquière, pas à pas.
























Chaque personne à sa propre perception de sa nudité et cette perception, pour l’artiste, se lit sur le visage de la modèle, se lit sur son comportement dès qu’elle est nue devant vous. Il suffit de regarder cette photographie d'Annick qui est son premier nu. Son regard parle à lui seul sur la tension intérieur qui règne en elle.

Ensuite, cette perception se transforme au fur et à mesure que la séance se déroule.

Votre perception de ce corps nu évolue également.
Parce que Laurent anticipe la suite de ces articles. Mais je tiens à répondre ouvertement à sa question.
L’artiste, au contraire du regardant, voit ce corps nu en réalité et en mouvement. Et ce corps nu parle au travers des mots de la modèle que vous ne découvrez pas uniquement par la vision de sa nudité mais par sa manière d’en parler et de discourir avec vous.

Donc, en plus de la découverte du corps nu de la Dame, vous découvrez sa personnalité.

Il peut y avoir des modèles à la plastique parfaite qui s’avèrent être pédantes, maniérées et antipathiques au point qu’il vous est désagréable de la photographier.
En réalité, elles vous coupent l’inspiration et vous ne faites rien de bon.

En fin de compte, quelle que soit la plastique de la modèle, c’est son savoir-être nue qui prévaut, c’est sa façon d’être naturellement nue qui vous inspire.

A partir de là, c’est la capacité de l’artiste à reproduire ce corps nu qui entre en jeu.
Savoir mettre en beauté, en valeur, cette plastique et donner plaisir, tant à la Dame qu’à celles et ceux qui regarderont ses œuvres, de les contempler.

En mettant une réalité en évidence : vous pouvez avoir deux photographes, au même moment, dans le même environnement devant ce corps nu que vous aurez, toujours, deux visions différentes de celui-ci, des photographies différentes de celui-ci.

Tout est donc dans la perception de ce corps nu par chacun des artistes.
Donc, pour le regardant, il appréciera la plastique d’un corps nu, non par rapport à son physique ou son âge mais bien par la manière dont l’artiste l’aura reproduite.
C’est en fin de compte cela de l’art, être capable de mettre en valeur ce que vous regardez, que ce soit un corps nu ou un paysage en donnant plaisir aux autres, les regardants, de visionner vos œuvres

vendredi 24 décembre 2010

Joyeux Noël.





Nous vous souhaitons à toutes et à tous un joyeux Noêl et un bon réveillon.
Chez nous, et cela n'est plus arrivé depuis longtemps, ce sera sous la neige.

jeudi 23 décembre 2010

Oser contempler le corps nu. (1)

Le magazine « Pratique des Arts » n°95 de ce mois de décembre 2010 consacre un dossier sur « le corps féminin mis à nu ».

Mon attention a été attirée par les propos du peintre François-Edouard FINET : « La beauté d’un corps vient de son unicité. J’aime la beauté naturelle, sans fard ni chirurgie. La beauté de la femme libre qui fait ses choix, veut plaire aux autres et se plaire à elle-même. » François-Edouard FINET s’étonne que le nu provoque tant de gêne et de détournements d’yeux : « agirait-il sur le spectateur comme un miroir de son inconscience ? » FINET pour qui, « le naturisme est génétique », ainsi que l’on retrouve le naturel dans la nudité. Au fond que l’on ose contempler un corps nu comme on le fait d’un simple paysage …

Il est bien là le fait : contempler le corps nu comme un simple paysage.

C’est ce que j’écris souvent mais lorsque je le dis à quelqu’un, il me rit au nez et ne me croit pas.

Et dans l’art, il y a deux contemplateurs : l’artiste d’une part, celui qui regarde son œuvre, d’autre part.
Ces regards ne sont pas nécessairement les mêmes. Ils sont souvent différents pour ne pas dire parfois opposés.

Pour moi qui photographie le corps féminin nu depuis tant d’années, je le contemple ni plus ni moins comme un paysage dont je peux photographier l’ensemble, comme un beau panorama, ou un détail qui attire mon regard, comme le pistil d’une jolie fleur.

Parce que comme un paysage, tout le corps féminin nu mérite que l’on s’y attarde, qu’on prenne le temps de le contempler car comme un paysage, il recèle de mille beautés et diversités.

Et lorsque l’on contemple le corps féminin nu comme un paysage, les mots changent de sens, ils quittent cette obsessionnelle connotation sexuelle qu’on lui colle facilement à la peau pour trouver toute la magnificence de la nature. Comme si la nudité était exclusivement sexuelle et ne pourrait pas avoir une autre raison d’être. Annick explique à merveille sur son blog artistique ce qu’elle appelle « ses nudités ».

J’oserai ajouter que comme un paysage, il est riche de contempler le corps féminin nu en été, comme en automne, comme en hiver, chaque saison apportant son lot de joliesses.
M’interdisant, personnellement, de photographier un corps féminin nu avant que sa propriétaire ait atteint l’âge de 21 ans.

Il est donc bien là l’esprit du nu dans l’art.
A suivre.

mardi 21 décembre 2010

Canal historique du Centre (4)

Durant les fêtes de fin d’année, nous vous proposons de poursuivre plusieurs sujets ouverts en commençant par notre promenade à la découverte du canal historique du centre, en allant de l’amont à l’aval.

En vous promenant le long de la rive droite du canal historique du centre à 300 tonnes (sur la photo je suis sur la rive gauche), allant de Seneffe à Mons, c'est-à-dire de l’amont vers l’aval, vous découvrez l’ensemble des sites et monuments qui constituent le musé vivant du canal.
Sept kilomètres séparent le point d’origine du canal historique du centre et l’ascenseur n°4 de THIEU. Nous les avons parcourus pour vous en été comme en hiver pour vous ramener des images insolites.

Le point d’origine du canal historique du centre. Vous êtes en amont de l’ascenseur n°1 de Houdeng.
Ce point a deux particularités :
- il se situe à la cote 121,15 mètres au dessus du niveau de la mer, ce qui en fait le point culminant des voies navigables de Belgique.
- cette partie du canal s’appelle le « bief de partage » car il relie le bassin de l’Escaut à celui de la Meuse.

En 1882, le canal du centre est venu se greffer sur un embranchement du canal Charleroi-Bruxelles en direction de la région du centre.


Cet embranchement qui a son origine à Seneffe permet aujourd’hui le passage de bateau de 1.350 tonnes.
Attention, le canal historique du centre est toujours limité aux bateaux de 300 tonnes.

Les portes de garde.
Cent mètres en amont de l’ascenseur n°1 se trouve deux portes de garde.
Au départ, elles étaient construites en bois.
Elles ont été remplacées par des portes à guillotines commandées électriquement depuis le poste central de l’ascenseur.

Celles-ci sont fermées lorsque l’ascenseur est à l’arrêt, ce qui est le cas actuellement.

Leur rôle est d’éviter la vidange accidentelle du bief amont et de protéger les villages en aval de l’ascenseur en cas de fuite ou d’accident grave à l’ascenseur.Elles permettent aussi le maintien du fonctionnement de l’ascenseur lorsque le niveau de flottaison est inférieur à 121,15 mètres.
A suivre, l'ascenseur n°1.