jeudi 22 mai 2014

Epilation, piercing et tatouage ? Parlons-en (7).

Comme pour ma chevelure, il répondait toujours la même chose, encore aujourd’hui : « c’est à toi que tu dois plaire en premier lieu ! » Il avait raison, même s’il était plus « réconfortant » pour moi d’avoir son avis. Mais, quelque part, son avis je l’avais au travers ses photos.

Cela m’a aussi permis d’oser prononcer les mots tels qu’ils sont. Sans gêne, sans honte, sans silence. Un sein était un sein, un pubis était un pubis, etc., tout simplement. C’est pour cela que je n’ai aucune difficulté pour vous parler de ce sujet.

Les coupes adoptées, je lui disais mon opinion et nous en parlions, tout aussi simplement. La vie est belle lorsque l’on ne se la complique pas inutilement ! La vie est belle lorsque l’on peut parler d’un pubis sans y voir du sexe. Toute la magie de la vision paysagère de la nudité que Jean-François avait déjà à l’époque.

Parlant de ma recherche, il me disait que la nudité est comme un paysage. Elle reste sauvage ou on l’entretien. Et parlant précisément de ma coupe pubienne, il parlait d’une jolie vallée que l’on garde sous le feuillage ou que l’on défriche en tout ou en partie pour en voir toutes ses joliesses. Et les joliesses de cette vallée défrichée, comme il disait, j’osais les regarder, seule et/ou avec lui. Et je trouvais cela très beau, émouvant, encore aujourd’hui.

Tout dans ce langage est poésie loin de cette vulgarité que je pouvais entendre depuis mon adolescence. Sans compter ce que je pouvais entendre de la part de certains de mes collègues masculins au bureau.


Et dans ma pratique du naturisme, me direz-vous.

A suivre, ...

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