Continuons notre promenade dans la région qui entoure le gîte naturiste que nous avons occupé durant quinze jours.
Lamothe Massaut était un prieuré régulier conventuel, appelé Ste Sixte, dépendant de l’abbaye de Souillac. Il était, avec l’annexe de Saint Sauveur, de l’ordre de Saint Benoît à la collation de l’abbé de Souillac. On retrouve peu de trace de ce prieuré.
Lamothe Massaut était un prieuré régulier conventuel, appelé Ste Sixte, dépendant de l’abbaye de Souillac. Il était, avec l’annexe de Saint Sauveur, de l’ordre de Saint Benoît à la collation de l’abbé de Souillac. On retrouve peu de trace de ce prieuré.
Seules subsistent les pierres de l’appareillage du mur d’enceinte (au nord de la tour du clocher).
En 1460 le prieuré fut rattaché à l’aumônerie de Souillac et les annexes en seront Saint Sauveur de Massaut et Saint Cernin de Mareuil.
L’église présente quelques particularités archéologiques.
Construite au 12ème, elle fut reconstruite au 15ème et restaurée à diverses époques. De la construction primitive, il ne reste que l’abside en cul de four qui résista aux dévastations qu’elle subit au cours des guerres d’Angleterre et de religion.
Sa façade robuste élève son clocher à pignon de 23 mètres de hauteur et 10 m. de largeur. Percé de cinq ouvertures campanaires, dont il ne subsiste que 2 cloches, l’une pesant 70 kg est datée de 1535, l’autre fut fondue en 1842.
Sur le pourtour de l’église, on remarque en arc les vestiges d’une litre noire portant les blasons successifs des Salignac Fenelon, avec, en sautoir l’ordre de Saint Esprit, reconnaissable à la croix de malte qui comporte en blanc une colombe aux ailes déployées.
En 1460 le prieuré fut rattaché à l’aumônerie de Souillac et les annexes en seront Saint Sauveur de Massaut et Saint Cernin de Mareuil.
L’église présente quelques particularités archéologiques.
Construite au 12ème, elle fut reconstruite au 15ème et restaurée à diverses époques. De la construction primitive, il ne reste que l’abside en cul de four qui résista aux dévastations qu’elle subit au cours des guerres d’Angleterre et de religion.
Sa façade robuste élève son clocher à pignon de 23 mètres de hauteur et 10 m. de largeur. Percé de cinq ouvertures campanaires, dont il ne subsiste que 2 cloches, l’une pesant 70 kg est datée de 1535, l’autre fut fondue en 1842.
Sur le pourtour de l’église, on remarque en arc les vestiges d’une litre noire portant les blasons successifs des Salignac Fenelon, avec, en sautoir l’ordre de Saint Esprit, reconnaissable à la croix de malte qui comporte en blanc une colombe aux ailes déployées.
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