mardi 15 septembre 2009

Sans gêne ni tabou.

« Le temps d’une rencontre, Annick TERWAGNE et son époux Jean-François se mettent à nu. Ils démystifient le naturisme. Sans gêne ni tabou. »

Cette introduction de l’article « l’art au service de la nudité » signé par Linda FIANDACA (Nouvelle Gazette du 14/09/2009) est intéressante en ce qu’elle souligne que nous parlons du naturisme sans gêne ni tabou.

En quoi devrions-nous être gênés de parler de notre démarche naturiste. Avoir adopté le naturisme comme mode de vie familiale ne fait pas de nous des gens souffrant d’une maladie honteuse, une race à part.

Et pour Annick et moi, il n’y a pas de tabou dans notre mode de vie naturiste.
Parce que notre naturisme n’a rien à cacher, n’a rien à taire, n’a rien de déviant ou de pervers.

Et c’est là qu’Annick a raison lorsqu’elle dit, ce que l’article reprend, qu’aujourd’hui, on dénature le naturisme. Et la démarche de cette jeune journaliste est tout à son honneur parce qu’elle est venue vers des naturistes convaincus et non militants. Qui ne revendiquent rien, témoignent, tout simplement.

Le naturisme est en fait un mode de vie simple, sain et épanouissant à titre personnel, familial et sociétal.

Ce sont les idées faussent que s’en font celles et ceux qui ne le pratiquent pas qui dénaturent le naturisme. Aidés en cela par les comportements déviants de soi-disant naturistes qui dénaturent le naturisme en se servant du mot « naturisme » pour justifier des actes qui sont étrangers au naturisme.

Notre blog a été créé pour démystifier un mode de vie valorisant à plus d’un titre. Et c’est pour cela que nous n’avons pas hésité un seul instant à accepter de rencontrer cette sympathique journaliste pour parler, sans gêne ni tabou, de notre mode de vie naturiste.
Et à répondre sans détour aucun à toutes ses questions.

Les absences de réponse aux questions que se posent les non naturistes ouvrent les portes à toutes les erreurs de pensée ou de vision, sur un mode vie qui ne s’en pose pas.

À suivre !

La première photo d'Annick a été prise aux Lacs de l'Eau d'Heure en 1988, la seconde à Marrakech en 2008.

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