Flânerie culturelle.

Annick adore la quiétude qui règne le matin dans les escaliers de sa galerie d'exposition consacrée à la promotion de l'image de la féminité.

Elle profite de ces moments pour visiter sa galerie en sa tenue préférée et y regarder, ce qui est le cas pour l'instant, ses pastels et sculptures.

Moi, j'en profite pour capter des images intimes de ma muse nue.

Voyeur !

L’image sous toutes ses formes !

« Je ne parle pas avec des mots
je vois avec des images (et parfois je les fais)
j’aime les corps, la peau, le geste
la contrainte infligée
pour raconter, pour travailler, pour dévoiler ».

Philippe DEUTSCH, photographe français de la région parisienne, affectionne l’image sous toutes ses formes : picturale, graphique, virtuelle, photographique, …Il crée avec des pattes différentes, utilise toutes les techniques et toutes les dimensions.

Il est rare de rencontrer un artiste – dans toutes l’intégrité et l’intransigeance du terme – qui se transforme aussi souplement pour intégrer les contraintes d’une commande sans rien perdre de sa liberté et sa créativité, et se faire tour à tour ou simultanément illustrateur, graphiste, infographiste, scénographiste.

Philippe DEUTSCH a plusieurs expositions à son actif mais aujourd’hui, il vous invite à découvrir ses images au travers l’exposition « Pêle-Mêle » qu’il présente, en compagnie de neuf autres photographes, à Chairière (Belgique – Vresse-sur-Semois). Cette exposition est visible du 15 juin au 13 septembre 2009, au Bateau Ivre, 3 rue Haute, les lundi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche de 14 à 19 heures.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le dimanche 5 juillet 2009 à 16H00’. Invitation cordiale à toutes et à tous.

Son site Internet : http://www.deutsch-art.com/

Balade découverte Art Déco.

Loverval est une très jolie commune située aux portes de Charleroi.

Son patrimoine architectural est très riche et diversifié. Et l'art déco bien représenté.

L'ASBL Initiatives en Val de Sambre organise ce dimanche 28 juin 2009, une balade découverte de cet art déco à Loverval.

Une belle façon d'aller à la découverte de cette verdoyante commune belge.

La nostalgique mélancolie.

« Je me vide dans mes images et donc, je suis joyeux en dehors »
Ces mots résument à eux seuls l’univers dans lequel évolue le plasticien belge Frédéric KARIKESE .

Son univers est en fait une galaxie composée par la photographie, l’infographie, les événements, les installations, les environnements, les scénographies, la céramique.

Homme plein d’énergie, il va quérir celle-ci dans son instinct de vie et son envie d’être entouré.
Sa passion pour la photographie est indéniable.

Quand il réalise une image, Frédéric KARIKESE a l’impression de découvrir un film dont il est le premier spectateur. Il aime la sérénité de ces moments de concentration extrême et de doux isolement durant lesquels, à l’aide de logiciels de manipulation de l’image, il réalise celle-ci.

C’est surtout le fait de pouvoir décider de toute son image qu’il affectionne. Il aime alors l’ivresse qui l’étreint lorsque quelque chose en lui, lui dit que c’est terminé, qu’il ne fera rien de mieux.

En tout état de cause, ces images ne laissent pas indifférent.

Frédéric KARIKESE a, à son actif, environ 180 expositions, à travers l'Europe et les Etats-Unis. Sans oublier une trentaine de publications dans des magazines de dix pays, dont les U.S.A. le Japon, la Chine, la Lituanie.

Aujourd’hui, il vous invite à découvrir ses images au travers l’exposition « Pêle-Mêle » qu’il présente, en compagnie de neuf autres photographes, à Chairière (Belgique – Vresse-sur-Semois). Cette exposition est visible du 15 juin au 13 septembre 2009, au Bateau Ivre, 3 rue Haute, les lundi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche de 14 à 19 heures.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le dimanche 5 juillet 2009 à 16H00’.
Invitation cordiale à toutes et à tous.

Son site Internet : http://www.karikese.com/

Où loger à Skiveren (Danemark) ?

Pour en terminer avec le Danemark, dans l’attente d’y retourner, je répondrai qu’Annick et moi avons toujours logé sous tente. Nous ne connaissons pas, jusqu’à présent, le confort de l’hôtel.

A Skiveren, nous avons toujours séjourné dans le magnifique camping qui jouxte la grande plage.
Attention, ce n’est pas un camping naturiste.

Il est, comme tous les campings danois, très bien aménagé, avec des emplacements individuels spacieux pour les tentes, caravanes ou mobilhomes. Equipement électrique compris.

Les sanitaires et les douches (mixtes) sont impeccables. Vous y trouverez également deux grandes piscines, terrains de jeux pour les enfants. Et bien évidemment, comme dans tous les pays nordiques, des saunas. J’allais oublié des espaces spécifiques pour les bébés et une pièce avec toutes les machines nécessaires pour la lessive et le repassage.
Pas besoin de courir loin pour trouver de quoi se nourrir puisqu’il y a un magasin, un restaurant, … A deux pas de là, dans le village, il y a une taverne danoise à ne surtout pas manquer pour la rencontre avec les habitants du coin.
Et si vous ne voulez pas utiliser la voiture, un sentier vous mène directement à la plage.

Le temps ? Il fait très beau aux mois de juillet et août.

Que visiter aux environs ? A lire dans le prochain article.

L’atelier NUDE vous ouvre ses portes.

Les 27 et 28 juin ainsi que les 4 et 5 juillet 2009, de 10 à 19 heures, « L'atelier Nude » ouvre ses portes au public.

Le sculpteur Jo MYNS, que nous vous avons déjà présenté sur ce blog, aura, à cette occasion, le plaisir de vous faire découvrir son atelier et de vous expliquer, à l'aide de la photo et du matériel utilisé, comment il réalise une sculpture.

Occasion, pour vous, de lui poser toutes les questions qui trottent dans votre tête à ce sujet.

Ensuite, dans le magnifique jardin environnant, vous pourrez, armé d'un drink que son épouse et lui vous offriront avec plaisir, contempler toutes les sculptures qui y sont exposées.

Voyage au pays de la féminité sculpturée.

INFOS :Son site internet : http://www.jomyns.com/"Atelier Nude", Veldstraat 21, 9250 Waasmunster (Belgique). Tél: 00-32-(0)52/46.07.82.

Notre reportage chez Jo MYNS : http://naturismelibre.blogspot.com/2009/02/jo-myns-la-nudite-sculpturee.html

Fragrance délice.

Le chèvrefeuille commun est une plante sarmenteuse de la famille des caprifoliacées.

Ses branches sont des lianes volubiles c'est-à-dire qui s'enroulent en spirale autour d'un support mince (chez nous, il s’est enroulé autour du tronc et des branches d’un bouleau).

Dans certaines espèces, elles peuvent atteindre 10 mètres.La formation de pousses volubiles est continue pendant le printemps et l'été.

Les feuilles simples et opposées peuvent être caduques ou persistantes suivant les espèces.
La période de floraison débute en mai-juin et se poursuit très longtemps.

L'effet décoratif est assuré par le nombre, la taille et la couleur des fleurs qui sont particulièrement remarquables.

Un autre effet qui ne passe pas inaperçu est le parfum suave, pénétrant et délicieux que dégagent les fleurs, surtout la nuit.

Côté culture, pas de problème, cette plante très rustique s'accommode de tous les sols et de toutes les expositions.

On peut la multiplier par bouturage, par marcottage ou par prélèvement des nouvelles pousses qui se forment autour du pied mère.

Les photographies qui accompagnent le texte ont été réalisées sur la terrasse d’Intimerrance ce mercredi 17 juin 2009.

Le socle écologique.

Pour celles et ceux qui ne le savent pas, Annick et moi avons aménagé, il y a cinq ans, notre maison en galerie d'exposition, la galerie Intimerrance.

Cette galerie est dédiée exclusivement à la promotion de l'image de la féminité au travers des arts.

D'autre part, depuis quelques années, Annick s'adonne à la sculpture en terre cuite. Mais, pour les exposer, il nous faut des socles.

L'idée de les fabriquer nous-même était la meilleur mais comment et au moindre coût car, au bas mot, nous en avions besoin d'une dizaine.

C'est en faisant nos courses à la grande surface du coin que l'idée a germé.
Etant dans le rayon vin, je vis le sommelier qui embarquait des caisses de vin en bois, vide. Je lui ai demandé ce qu'il en faisait. Il me répondit : "je les jette aux immondises". Puis-je les avoir, lui ai-je demandé. Sans problème m'a-t-il répondu.

Rentré à la maison avec six caisses de vin vides, c'est le nombre de caisses qu'il faut pour un socle à hauteur d'homme, j'ai commencé par ôter le couvercle de la première et d'y clouer à chaque coin, un chevron carré de 90 centimètres de long.

Ensuite, j'ai ôté pour les cinq caisses suivantes, le couvercle et le fond et je les ai empilées les unes au dessus des autres.

En les clouant chacune aux quatre chevrons pour assurer la stabilité de l'ensemble.

Pour la sixième, j'ai fait la même chose que pour la première.

Et le tour est joué.

Voilà comment pour 2,5 euros (les deux chevrons et les clous), j'ai réalisé en moins d'une demi-heure, un socle en bois naturel.

Et évité à six caisses de vin vides, de se retrouver dans l'incinérateur du coin.

Qu'en dites-vous ?

Jacques LEINNE ou la féminité sublimée.

Jacques LEINNE est né à Jemappes (Belgique) en 1951.

Comme Obélix, en étant petit, il est tombé dans la marmite de potion magique, mais, à la différence de celui-ci, pour Jacques, c’était pour y quérir toute la force nécessaire pour exceller dans l’Art, celui de la photographie.

Fils du sculpteur renommé François LEINNE et frère de la céramiste Annie-Claire LEINNE, c’est donc tout naturellement que le monde de la création a depuis toujours attiré Jacques.

Il poursuit alors des études de photographie à l’Institut St Luc de Tournai et à l'Académie des Beaux-arts de Charleroi.

Pour Jacques, la photographie au départ était un défi fascinant : « Appuyer sur le bouton d’une boite noire, développer les négatifs et papiers et enfin voir naître une image » !

Cette fascination est vite devenue une passion ! « Le plaisir de faire une belle image, de regarder les choses, les personnes d’une façon différente. Etre le témoin privilégié d’un moment, rendre une ambiance, une expression, donner une âme à un instant que l’on fige.Mais aussi, le plaisir de faire vivre son imaginaire à travers une image.Enfin bref de créer et innover. »

L’image de la femme est son domaine de prédilection. C’est à Jacques LEINNE que l’on doit cette phrase magnifique : « en chaque personne il y a une beauté à tout âge. C’est au saisisseur d’image que je suis à essayer de la rendre ». Ses photographies sont un véritable hymne à la féminité.

Cette passion Jacques LEINNE aime la faire partager avec d’autres en participant à de nombreuses expositions en Belgique (Charleroi – 1974, Grand Hornu, 1983, Mouscron - 2003, Montigny-le-Tileul – 2005 – Saint-Ghislain – 2006 – Bruxelles – 2007) mais aussi, à l’étranger (Marseille -2004).

Et ce n’est pas tout ! Cela fait 33 ans que Jacques LEINNE possède son magasin à Saint-Ghislain où, il y exerce son métier de photographe mais aussi d’encadreur.

En compagnie de neuf autres photographes, c’est à Chairière (Belgique – Vresse-sur-Semois) qu’il présente ses travaux photographiques, du 15 juin au 13 septembre 2009, au Bateau Ivre, 3 rue Haute. L’exposition est ouverte le lundi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche de 14 à 19 heures.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le dimanche 5 juillet 2009 à 16H00’. Invitation cordiale à toutes et à tous.


Le contacter : Adresse postale : Grand’Rue, 4 à Saint-Ghislain. (Belgique).Tél : 0032(0)65.77.80.42E.mail : jale02@skynet.be
Site Internet : http://www.leinne-jacques.be/

Les ateliers TERRE de Béatrice DERIDIAUX.

Notre grande amie, la sculptrice belge Béatrice DERIDIAUX organise ses ateliers TERRE pour adultes débutants par petit groupe de 6 personnes maximum.

THEME :
Les vacances …. La liberté, l’envol, …Travail dans la masse.
La terre nature à l’état brut.

QUAND ?
Le mercredi 8 juillet 2009
de 10 à 13 heures
et de 14 à 17 heures.
Prévoir un casse-croûte – boissons offertes.

LE COUT ? 50 euros tout compris (terre, cuisson à 950°, matériel à disposition)
Prévoir éventuellement un tablier.

OU ? rue du Moulin, 52/RC/1 6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL Belgique.

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTION : 00-32-(0)476/81.77.64.

Béatrice aura grand plaisir de vous rencontrer à cette occasion.

Naturisme et nudité. Union obligatoire ? (Partie 19)

Qu’est-ce que cela apporte, me direz-vous ?

Outre ce profond sentiment de liberté d’être, la découverte de son corps et de ses réactions. L’apprentissage de soi, l’écoute de son corps à la rencontre du bien-être sensoriel. Un autre regard sur soi, manifestement. Un autre regard sur la vie. Une autre définition de la norme, éloignant de soi les principes et tabous inutiles liés à la nudité. Une réelle ouverture d’esprit, regardant les choses différemment. Mais aussi, une autre manière de vivre en symbiose avec la nature.

Pour Annick, cette découverte de la nudité en plein air lui a apporté un profond sentiment d’évasion, un énorme changement de cap dans sa vie. Une confiance accrue en elle.

En trois semaines, je l’ai vue se métamorphoser. Son bonheur d’être se lisait dans ses yeux. Comme un enfant, elle était en extase devant cette nature qui lui offrait tant de félicité intérieure.

Jour après jour, elle s’épanouissait dans ce creux de dune et sur cette vaste plage. Comme à la maison, elle déambulait nue avec cette aisance naturelle, riant, admirant les éléments, appréciant le chant d’un goéland, le vol d’une mouette, la couleur des fleurs qui nous entouraient. Allongée sur son drap de plage, elle captait joyeusement les bienfaits de la brise marine sur son épiderme offert au soleil. Plongée dans la mer, elle s’enivrait des caresses de l’eau sur sa peau brûlante ou sur la réaction de son corps qui s’affrontait à l’eau fraîche du soir.

Chaque soir, nous nous allongions, seuls, au bord de la mer pour admirer, dans cette plénitude fantastique, le jour prendre fin, la nuit prendre vie en se disant qu’il y avait tant de belles choses à vivre sur notre planète.

J’avais rarement vu Annick si heureuse d’être. Témoin privilégié de ce bonheur d’être, je m’enivrais de la photographier. Quant à Annick, elle s’amusait à prendre la pose pour continuer à concrétiser son plus beau rêve : posséder de plus en plus de photographies d’elle, nue.

Nous sommes retournés souvent sur cette belle plage dont la dernière fois en 2005. Pour Annick, la nudité en plein air est devenue un art de vivre auquel elle couple aujourd'hui sa pratique du dessin qu'elle aime vivre sur ces dunes, sur cette plage qui lui a apporté tant de joie d'être.

Ce bonheur doit-il alors passer par la case « naturisme de collectivité » ?
Un autre monde que nous aborderons dans le prochain article.

SensuELLE en BLANC.

Si vous cherchez, un jour, Didier BLANC, ouvrez le « dictionnaire de Bruxelles » et vous le trouverez à la lettre « S » comme « SensuELLE ».

Ce photographe sensualiste pose avant tout son regard d’écriture de l’âme dans la beauté de l’émotion, dans cet indéfinissable féminin.

Didier BLANC a commencé son parcours photographique il y a près de 10 ans au travers de son approche des sculptures de Bruxelles, qui lui a permis de s’émerveiller face à la palette subtile de la lumière naturelle.

Cette lumière, telle une étoile, ne cesse de le suivre dans son travail, que ce soit dans son approche de la nudité, de l’architecture, de la nature, de l’instant.

Chaque image est pour lui un pas de danse poétique avec le hasard.

Aujourd’hui, il vous invite à découvrir cette conjugaison des elles et des ailes pour aller à la rencontre de cette part improbable de l’ange qui est peut-être en chacun de nous.

En compagnie de neuf autres photographes, c’est à Chairière (Belgique – Vresse-sur-Semois) qu’il présente ses travaux photographiques, du 15 juin au 13 septembre 2009, au Bateau Ivre, 3 rue Haute.

L’exposition est ouverte le lundi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche de 14 à 19 heures.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le dimanche 5 juillet 2009 à 16H00’. Invitation cordiale à toutes et à tous.
Son site internet : http://www.blanc.jepose.com/

Ils ont fait parler la poudre !

Comme le veut la tradition, chaque lundi de la Pentecôte a lieu dans le beau village de Gerpinnes (Belgique), la marche Sainte Rolende.

Cette marche est l'une des plus importantes de l'Entre Sambre et Meuse, l'une des plus suivies, et également l'une des plus longues.

Elle débute dès 2h00 du matin au son des fifres et des tambours et se poursuit jusqu'au soir. De 4h00 à 18h00, le défilé folklorique (37 kilomètres) composé de quelque 2.000 marcheurs en costume d'époque napoléonienne, représentant un nombre considérable de compagnies militaires, poursuit sa marche, traversant au total quelque sept villages.

La rentrée du défilé dans les rues du centre de Gerpinnes vers 18h00 en constitue l'apothéose.

Annick et moi avons choisi le cadre prestigieux du Château d'Acoz pour vous présenter, en quelques photographies, une étape de cette marche. Avec, en plus de la foule, le beau temps en prime.