dimanche 29 mars 2009

Qui suis-je ?

Je me suis invité dans les arbres d'Intimerrance et évidemment, j'ai été photographié !

Mais, qui suis-je ? Car le photographe ne le sait pas !!!

Et bien, grâce a des internautes branchés, il sait maintenant !
Je suis un pouillot véloce.

samedi 28 mars 2009

La gymnosophie - partie 7.

La photographie est devenu un art.

Les plans, sur lesquels la lumière se joue, remplacent les volumes de la sculpture et les couleurs de la peinture ; art secondaire, sans doute, mais qui a pour lui l’avantage d’être réaliste. Peut-être est-ce là la raison qui fait condamner la reproduction photographique du nu par la morale légale qui l’accepte cependant en sculpture et en peinture.

Ce réalisme de la photographie donne à la nudité une puissance d’exemple d’une valeur incontestable ; elle montre ce à quoi parviennent ceux qui la pratiquent dans un but noble.

En cherchant à éveiller dans l’esprit et le cœur de nos contemporains le goût de la santé et de la beauté corporelles ; en mettant sous leurs yeux ce qui est esthétique en marbre, en peinture et en chair vivante par la photographie, nous créons en eux un lyrisme réel, spirituel et fécond qui ne peut que les conduire à la recherche consciente et ardente de la perfection possible, laquelle ne peut être atteinte sans l’équilibre et l’harmonie de toutes les fonctions, y compris celles qui fait naître les pensées, donc les actes.

Le chemin qui conduit à la beauté est le même qui mène à la morale, à la morale réelle : à la morale universelle et éternelle.

KIENNE DE MONGEOT.
Préface de l’album « La Nudité Belle et Vraie II."
Editions Vivre d’Abord.

Les Maghiens en expo !


mercredi 25 mars 2009

Naturisme et nudité. Union obligatoire ? (Partie 5)


Annick m’écoutait, me questionnait mais hésitait.
Quel regard je porterai sur elle lorsque la barrière du vêtement sera tombée ?

A mes yeux, la barrière du vêtement n’est qu’une hypocrisie qui permet de montrer une image de soi sans pour cela correspondre à son reflet intérieur. Ne dit-on pas que l’habit ne fait pas le moine.

La nudité ôte cette hypocrisie et ouvre la route à la reconnaissance, à la simplicité, à l’égalité. Que l’on soit juge, avocat, ministre, employé, jardinier, curé, lorsque l’on est nu, cela ne se voit pas. Nu, c’est son savoir être qui devient le lien social.

Et comme le dit le Prince Laurent de Belgique dans une interview qu’il a accordé à deux étudiants en journalisme, « il n’y a que nu que tu es toi-même » et c’est bien vrai.

Au-delà, quel autre regard peut-on porter sur quelqu’un qui assume sa vie de cette magnifique façon que celui de l’admiration de voir cette amie aller à la rencontre d’elle-même et à la recherche des réponses à ses interrogations.

Il restait la dernière question : Qu’est-ce que cela m’apportera de l’avoir vu nue ?

La fierté d’avoir pu offrir à une véritable amie le savoir qui lui apportera toujours plus de richesses personnelles que l’ignorance. Sans dire que mon admiration sera plus forte encore parce qu’elle aura été, une nouvelle fois, au-devant de ses montagnes. Peut-être que cela changera sa vision des choses et lui permettra de franchir d’autres sommets.

Et lorsque Annick saura, avec le temps, c’est elle qui se rira d’elle.

A suivre, ...

mardi 24 mars 2009

La gymnosophie - partie 6.

L’ART, qui fait appel à la vérité éternelle, ainsi que l’être humain lorsqu’il veut se perfectionner, subit la morale légale.

L’épanouissement de l’art se confondit souvent avec celui des religions.

Il est certain qu’il y eut accord parfait entre le sentiment religieux et le sentiment artistique. C’est qu’à certaines époques, la morale réelle était l’émanation la plus haute de la religion ; mais vint la morale légale, sociale, qui s’associa à la pensée religieuse et l’on vit alors un affaissement de l’art et une dégénérescence de l’être humain.

Les statues furent brisées ou voilées, les peintures brûlées ou profanées par des retouches sacrilèges et le corps humain, condamné comme étant impur, fut privé d’air et de lumière.
Il va s’en dire qu’un certain dogme du péché originel contribue puissamment à cette action amoindrissante de la morale légale.

L’être humain ne peut prospérer, s’élever sans un idéal haut placé, d’où les religions ; l’art n’est autre que l’extériorisation, la matérialisation de cet idéal.
Quoi de plus normal que l’esprit religieux et le sentiment de l’esthétique pure aient marché si longtemps et si souvent ensemble ?

Il est indispensable d’insister sur la séparation de la morale réelle et de la morale légale qui est, en quelque sorte, le transport sur le terrain social d’une métaphysique sexuelle fondée sur l’interprétation courante du péché originel.

Aux disciplines prohibitives de cette morale religieuse, sont venues se joindre celles de la société ; morale étrange, en vérité, incohérente qui condamne avec un absolutisme rigoureux certains abus –exagérations de besoins naturels et normaux – mais tolère avec une indulgence incompréhensible des vices acquis, des vices sociaux de prétendus civilisés, dont les conséquences sont la dégénérescence et physique et morale !

Un seul exemple : l’alcoolisme qui est loin d’être réprimé avec la même rigueur que l’érotisme.

(Photographie d'Annick TERWAGNE réalisée par le photographe français Jean-François LEFRANC)

mercredi 18 mars 2009

Naturisme et nudité. Union obligatoire ? (Partie 4)

Mais pourquoi cette idée ?

  1. Tout d’abord parce qu’elle ne s’était pas encore faite à l’idée qu’il pouvait être normal de vivre nue chez soi !

    Les murs de la maison, disent les danois, sont inviolables. On y vit de ce que l’on veut y vivre, disent-ils, dans la confidence des habitants des lieux. Et cela ne regarde personne d’autre.

    Je n’avais donc aucune raison de me moquer de sa manière de vivre entre ses murs. C’est le respect d’un droit individuel qui ne regarde que soi.
    Que je n’avais, en aucune manière, à juger. D’autant que je la partageais.

  2. Ensuite, parce qu’elle manquait de confiance en elle et en son corps. En cela, sur base de ses « confidences », je la comprenais.

    Mais, le naturiste s’indiffère de la « norme » corporelle. Le droit à la nudité ne se base pas sur des critères de beauté mais sur le droit de vivre sa vie à sa seule envie.

    Le naturisme est un art de vivre ouvert à toutes et à tous. Il n’est pas réservé aux modèles de beauté. Qu’est-ce, par ailleurs, un « modèle de beauté » ?

    Je n’avais donc pas, non plus, de raison de me moquer de son physique car dans le naturisme, je côtoyais des brunes, des blondes, des minces, des plus corpulentes, des jeunes, des dames âgées, … et aussi, tout à leur honneur, des personnes handicapées.

  3. Annick s’interrogeait aussi sur le fait que nous n’étions que des amis même si notre amitié était sans oeillère. S’appuyant sur le fait que la nudité est intime parce qu’elle dévoile tout de soi à l’autre.

    Heureusement que l’amitié ne se forge pas sur l’habit ou la nudité.
    L’amitié s’enrichit sur d’autres vecteurs, sur le partage de certaines valeurs, de certaines passions, d’un certain idéal.
    Elle permet aussi et surtout d’apporter à l’autre son écoute, son soutien, sa libre expression, les réponses à ses interrogations. Quel qu’en soit le domaine.

    Dans le cas présent, l’objectif n’est pas de la voir nue mais de lui permettre de vraiment connaître l’effet d’un regard autre que le sien sur sa nudité. Pour qu’elle puisse en faire son propre jugement. Il faut bien quelqu’un qui lui permette de le réaliser. C’est, aussi, à cela que sert un ami digne de ce nom.

  4. Vient alors la question habituelle : la nudité à une connotation sexuelle.

    Le naturiste fait une distinction importante entre la sexualité et la nudité.
    Pour le naturiste, la nudité ne rentre pas dans le contexte précis de la relation sexuelle mais dans son art de vie. Et cette nudité, comme elle, peut-être vécue loin du regard des autres.

    Savoir ce qu’apporte le regard de l’autre sur son corps dévoilé n’a pas de relation avec la sexualité mais avec une interrogation intérieure. Un désir de savoir.

    Qui plus est, cette connotation sexuelle peut parfaitement s’attacher à l’habit. Qu’un décolleté profond ou une mini jupe peut susciter le désir sexuel ! Un regard aussi.

    Mais nous ne sommes pas dans un contexte naturiste dans ce cas, mais dans un contexte de séduction de l’autre.
    Le naturiste ne cherche pas, au travers la nudité, à séduire mais simplement à vivre librement sa vie.

    A suivre.

mardi 17 mars 2009

La gymnosophie - partie 5

LA MORALE n’est pas toujours conséquente.

Elle varie selon les mœurs, issues de coutumes et d’habitudes, donc des latitudes.

Elle n’est pas ce qu’elle devrait être : une morale RELLE, défense, en quelque sort, instinctive de l’individu contre les attaques des forces du mal, mais une morale LEGALE chargée de la défense de la société, souvent, d’ailleurs, au détriment de l’individu dont elle fait un refoulé qu’elle empêche de s’épanouir intégralement et humainement.

On peut dire LA MORALE quand il s’agit de la morale réelle qui est universelle, immuable et éternelle parce que ses lois sont celles de la nature et parce qu’elle a pour but la défense de l’être humain ; de sa vie et de son bon équilibre ; il faut dire, lorsque l’on parle de l’éthique légale, non plus jamais les morales.

En effet, la législation n’est pas la même pour toutes les nations ;
c’est ainsi que si dans les Pays nordiques, en Roumanie, en Russie du temps des tsars, au Japon, etc…, la nudité a parfaitement droit de cité ; il n’en va pas de même dans les autres pays.

Nous avons vu qu’il en est ainsi dans le temps. Au moyen âge on ne craignait pas la nudité. Souvent le cortège des rois, entrant dans l’une de leurs bonnes villes, était agrémenté d’une escorte de jeunes et belles filles entièrement nues.

A suivre, ...

jeudi 12 mars 2009

Connaissez-vous Annick TERWAGNE ?



C’est elle, étendue sur le sable, sur la bannière de ce blog !

Elle est née à Charleroi (Belgique) le 28 avril 1956.

En 1986, elle rencontre le photographe belge, Jean-François COLLIGNON qui lui fait découvrir la photographie, de l'autre côté de l’objectif, en qualité de modèle, de préférence nue.

Un monde merveilleux, hors du commun, s’ouvre alors à elle. Lequel l’amène, entre autres, à découvrir les bienfaits d’un naturisme libre qu’elle vit, pas à pas dont je relate l’évolution au travers des articles « le naturisme, pas à pas sur ce blog ».

Mais ce monde hors du commun lui ouvre les portes, en 2001, du dessin et de la peinture. Elève occasionnelle de l'Académie des Beaux-arts de Charleroi, elle découvre les joies du travail sur modèle nu vivant, conjugué au féminin. Elle y apprend différentes techniques allant du dessin au crayon, au fusain, voire au pastel pour se lancer ensuite dans la peinture, entre autres, sur papier peint.

Un matin de printemps, en 2002, elle se trouve en son atelier privé devant un bloc d'argile. Ses mains se mettent à pétrir la terre pour lentement voir apparaître la sculpture d'une femme nue, assise.

Depuis, Annick TERWAGNE alterne le dessin au pastel et la sculpture en y apportant toute sa sensibilité féminine pour représenter la femme dans sa simple et noble volupté. Et elle continue à poser nue pour différents artistes dans divers registres. C’est ainsi qu’au-delà de la photographie, elle a expérimenté le body-painting et le moulage sur corps.

Sans passer sous silence les nombreuses et diversifiées expositions qu’elle a présentées depuis 2004. Elle en compte 20 à son actif. C’est ainsi qu’on a pu admirer ses réalisations au salon de l’érotisme de Bruxelles ou au salon du naturisme de Paris, en passant par le salon de l’Eternel féminin de Bruxelles et bien d’autres galeries.

Et peut-être aurez-vous la chance de la voir dessiner dans un espace naturiste ou sur plage naturiste. Annick TERWAGNE ayant toujours son chevalet à portée de main.

Annick TERWAGNE présentera ses œuvres à l’occasion de l’exposition « A Fleur de Peau » organisée par la maison de la Laïcité de Pont-à-Celles (rue de l’Eglise, 4) du 13 au 28 mars 2009.

Comme le titrait Jean-Luc BOULAND dans un article qu’il lui consacrait : Annick TERWAGNE, le sujet absolu.

En savoir plus sur Annick TERWAGNE ?
Lire son interview dans le « masculin moderne »

Voir ses sites :
1. http://www.intimerrance.jepose.com/
2. http://www.artmajeur.com/akart
3. http://www.akbody.20mn.com/
4. http://www.dance.jepose.net/
5. http://www.akcopy.jepose.net/

Lire son blog : http://annickterwagne.blogspot.com/

La contacter :
Adresse postale : rue Vandervelde, 95 à B-6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL (Belgique).
Tél : 00-32-(0)71/51.18.42.
E.mail : intimerrance@hotmail.com

lundi 9 mars 2009

Béatrice DERIDIAUX, sculptrice de la féminité.






Béatrice DERIDIAUX est sculptrice et possède son atelier à Montigny-le-Tilleul, en Belgique.

Nous sommes allés à la rencontre de cette amie pour vous la présenter.




Béatrice, d'où vient cette passion pour la sculpture ?
J’ai toujours dessiné et beaucoup fréquenté les galeries.

Vers les années 1975, j’ai étudié le dessin, principalement le nu, au cours de Monsieur GOESSENS à l'Académie des beaux-arts de Charleroi (Belgique).

Depuis 1996, la Terre m’a permis de me trouver et de me connecter avec ma vraie nature. Le travail de la terre m’apporte harmonie, bien-être intérieur
.

Chaque sculpture a son histoire, autant d'autoportraits, c'est-à-dire le reflet de ses émotions, de ses états d'âme. Le toucher de la Terre est un plaisir physique, sensuel. La terre qui s'ouvre, s'offre.

As-tu un thème de prédilection ?
Oui, sans conteste : la femme et parfois le couple.

Les femmes sont faites comme la Tierra, rondes, comme elle (dixit Clairissa Pinkola Estès dans femmes qui courent avec les loups)Les volutes, les arrondisLes pleins, les creuxoù tout glisse, tout coule, sans heurt.

Tu animes aussi un atelier !
Oui, j’anime depuis plusieurs années, des ateliers Terre pour adultes : « L’atelier à Béa ». J’organise également des stages tout au long de l’année et des saisons.

Et souvent, au travers mes expositions, j’essaie de surprendre les visiteurs par mes sculptures corporelles aux senteurs enivrantes d’érotisme, tels des bâtons d’encens qui répandent lentement leur fragrance pour vous égayer la vie.

Se fondant entre les œuvres de mes amis, laissant errer une sculpture par-ci, par-là, je participe à cette discrète complicité en vous permettant d’errer dans mes jardins secrets pour vous en laisser extraire vos propres sentiments.

Que du plaisir, en fin de compte, …

Béatrice DERIDIAUX expose à la Maison de la Laïcité de Pont-à-Celles, rue de l'Eglise 4, du 13 au 28 mars 2009. Occasion de la rencontrer.


La contacter :
Adresse postale : rue Moulin, 52 à B-6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL (Belgique).
Tél : 00-32-(0)71/95.63.07.
Site Internet : http://www.artmajeur.com/beatricederidiaux

jeudi 5 mars 2009

Offrande, une nouvelle d'Annick TERWAGNE

Elle est sortie du four ! "Offrande", une sculpture en terre cuite réalisée par Annick TERWAGNE, pastelliste et sculptrice.









mercredi 4 mars 2009

Nue, je pose !

Lorsque mes dames, sous mon regard admiratif, me dévoilent, avec une volupté enivrante, leurs humeurs, leurs charmes les plus confidentiels, je me laisse envoûter par cette féminité nue à fleur de ciel.

Face à tant de beauté, je suis humble et dévoué à toutes mes nues en espérant que jamais un être puritain ne vienne leurs imposer l’habit !

Restez nues et authentiques, mes désirées, c’est comme cela que vous me plaisez.

En hommage à toutes ces dames qui ont décidé, nues, d’être et en toute liberté d’expression, je vous ouvre les portes de leurs photographies les plus intimes.

Avertissement ! Si la vision de la nudité vous dérange, passez votre chemin !
L'adresse du site ? http://www.nue.jepose.com

Naked, I pose!

When my ladies, under my admiring look, reveal me, with a pleasure intoxicating, their moods, their most confidential charms, I leave myself bewitch by this naked femininity with flower of sky.

Vis-a-vis as well of beauty, I humble and am devoted to all my naked by hoping as never a puritan being does not come their to impose the dress!

Remain naked and authentic, my wished, it is as that which you like to me.

In homage to all these ladies which decided, naked, to be and with complete freedom of expression, I open to you carry the their most intimate photographs.

Warning!
If the vision of nudity disturbs you, go your way!

The address of the site : http://www.nue.jepose.com

mardi 3 mars 2009

Au fil de l'Eau



J'ai le grand plaisir de vous annoncer la naissance de mon tout nouveau site naturaliste "Au fil de l'Eau".

Site dédié à toutes celles et ceux qui savent apprécier la belle nature et ses composantes.

Bonne visite : http://aufildeleau.jepose.org/