Bonjour tout le monde,
Annick a une position plus tranchée
sur les « regards volés » sur sa nudité.
A la plage naturiste, elle a horreur
des regards qui se cachent derrière des lunettes de soleil et encore
plus derrière des jumelles. Elle a aussi horreur de ces regards qui
fouinent d'un corps à l'autre, des regards de voyeurs comme elle les
appelle. Je lui donne raison lorsqu'elle dit que derrière ces
regards volés se cachent des non-naturistes nus, des obsédés
sexuels. Mais cela existe et nous n'y changerons rien.
Elle en pense de même au niveau
artistique. Annick dit qu'elle confie sa nudité à l'artiste et que
dès lors, il possède un droit de regard absolu sur toute sa nudité,
sans aucune exception, et que dès lors, il n'a pas à rechercher
d'une manière détournée à voir telle ou telle partie de sa
nudité. Il suffit de demander à voir et puis regarder.
Pour Annick, un artiste doit aussi savoir dire les mots tels qu'ils se déclinent. Un sein est un sein, un mamelon, un mamelon, un pubis, un pubis, .... Ces mots doivent être aussi direct que révérencieux. Une modèle nue est une Femme respectable et à respecter tant dans le verbe que dans le geste.
Pour Annick, un artiste doit aussi savoir dire les mots tels qu'ils se déclinent. Un sein est un sein, un mamelon, un mamelon, un pubis, un pubis, .... Ces mots doivent être aussi direct que révérencieux. Une modèle nue est une Femme respectable et à respecter tant dans le verbe que dans le geste.
Et faire comprendre ce qu'il veut
extraire de sa nudité et de quelle manière, de façon claire et non
sous-entendue. Il n'appartient pas à la modèle de deviner ce qu'il
veut et comment il le veut. La franchise est la mère de la réussite
d'une séance de pose, quoi que demande l'artiste.
A elle de le suivre sans autre questionnement. Elle est là pour confier sa nudité, toute sa nudité à l'art et à lui de dicter ses désirs de façon explicite.
A elle de le suivre sans autre questionnement. Elle est là pour confier sa nudité, toute sa nudité à l'art et à lui de dicter ses désirs de façon explicite.
L'anecdote la plus frappante pour
Annick est la fin de cette séance de pose nue pour un jeune
photographe. Celui-ci, qui n'y avait pas fait allusion durant toute
la séance, lui a demandé s'il pouvait voir de plus près son
piercing pubien. Évidemment qu'il pouvait le voir de près, qu'il
pouvait aussi, s'il l'avait désiré, le photographier de près et
sous l'angle qu'il voulait. Ce regard sur quelque partie de la nudité
d'Annick est justifié et son piercing pubien fait partie intégrante
de la personnalité de sa nudité et n'a pas à en être censuré.
Le pubis reste encore de nos jours
une partie taboue de la nudité ! Parce que la majeur partie des
personnes n'en voient que sa composante sexuelle et ne peuvent le
voir sous sa composante paysagère.
A suivre, ...
A suivre, ...
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