mercredi 29 mai 2019

Droit de regard - 7


Bonjour tout le monde, 
Il y a donc regard et regard sur la nudité d'Annick et ces deux cavaliers ne faisaient rien de mal en passant par là et en croisant la nudité d'Annick, ..., la mienne et celle de tou(te)s les autres naturistes se promenant sur cette plage naturiste. Le naturisme n'est pas un art de vivre qui rejette l'autre mais qui respecte les différences et donc, les non-naturistes. Mais qui n'admet pas le voyeurisme et les comportements déviants de certain(e)s libertins nudistes.
Je n'ai, en ce qui me concerne, aucun problème à ce qu'un regard, quel qu'il soit, se pose sur la nudité d'Annick et j'ai toujours écrit sur ce blog que je respectais au plus haut niveau la personnalité de sa nudité librement adoptée.
De là, vient la question traditionnelle qui m'est posée: « et vous, cela ne vous fait rien que l'on voit votre femme toute nue ? »
Ma réponse est toujours la même : « Je n'ai pas épousé Annick pour faire de notre couple une prison pour elle, mais bien un lieu d'émancipation et d'épanouissement, un lieu de libre expression, de liberté d'être et d'agir pour elle. Et surtout un lieu de dialogue sans langue de bois, sans tabou.»
Je n'ai pas imposé la nudité « domestique » à Annick. Elle a voulu vivre nue à la maison, j'en ai été le premier heureux. Et je le suis toujours aujourd'hui !
Je ne lui ai pas imposé la pratique du naturisme. Comme le raconte ce blog, elle y est venue pas à pas pour notre plus grand plaisir. A commencer par le sien.
Je n'ai pas imposé à Annick de devenir modèle nue pour moi, pour d'autres artistes que moi. Elle en rêvait, ce n'est plus un rêve. Et cela fait toujours partie de sa réalité aujourd'hui.
Comme je n'ai jamais influencé, encore moins jugé, la personnalité qu'Annick a donnée à sa nudité. C'est sa nudité qu'elle gère en toute liberté.
Je ne suis pas un macho, encore moins un censeur de vie. Je suis un époux.
J'ai offert à Annick la vie qu'elle voulait vivre, ..., à mes côtés.
J'ai joie, loin du regard d'autrui, de la voir vivre cette nudité avec félicité, dans notre maison, dans notre jardin.
J'ai joie, chaque fois que l'occasion se présente de la voir ôter sa robe pour bénéficier des bienfaits que sa nudité lui apporte en promenade en forêt, dans les champs, à la montagne.
J'ai joie de la voir vivre nue en toute confiance dans les espaces naturistes comme en Corse l'an dernier.
J'ai joie, alors, de lui offrir une autre félicité, celle d'être photographiée nue et de publier, avec son accord, le résultat de ces photos.
Celles et ceux qui la regardent toute nue ne pourront jamais partager tout le bonheur qu'elle m'offre au quotidien grâce à l'épanouissement qu'elle a trouvé au travers ses nudités.
A suivre, ...

samedi 25 mai 2019

Droit de regard - 6


Bonjour tout le monde, 
Annick a une position plus tranchée sur les « regards volés » sur sa nudité.
A la plage naturiste, elle a horreur des regards qui se cachent derrière des lunettes de soleil et encore plus derrière des jumelles. Elle a aussi horreur de ces regards qui fouinent d'un corps à l'autre, des regards de voyeurs comme elle les appelle. Je lui donne raison lorsqu'elle dit que derrière ces regards volés se cachent des non-naturistes nus, des obsédés sexuels. Mais cela existe et nous n'y changerons rien.
Elle en pense de même au niveau artistique. Annick dit qu'elle confie sa nudité à l'artiste et que dès lors, il possède un droit de regard absolu sur toute sa nudité, sans aucune exception, et que dès lors, il n'a pas à rechercher d'une manière détournée à voir telle ou telle partie de sa nudité. Il suffit de demander à voir et puis regarder.
Pour Annick, un artiste doit aussi savoir dire les mots tels qu'ils se déclinent. Un sein est un sein, un mamelon, un mamelon, un pubis, un pubis, .... Ces mots doivent être aussi direct que révérencieux. Une modèle nue est une Femme respectable et à respecter tant dans le verbe que dans le geste.
Et faire comprendre ce qu'il veut extraire de sa nudité et de quelle manière, de façon claire et non sous-entendue. Il n'appartient pas à la modèle de deviner ce qu'il veut et comment il le veut. La franchise est la mère de la réussite d'une séance de pose, quoi que demande l'artiste.
A elle de le suivre sans autre questionnement. Elle est là pour confier sa nudité, toute sa nudité à l'art et à lui de dicter ses désirs de façon explicite.
L'anecdote la plus frappante pour Annick est la fin de cette séance de pose nue pour un jeune photographe. Celui-ci, qui n'y avait pas fait allusion durant toute la séance, lui a demandé s'il pouvait voir de plus près son piercing pubien. Évidemment qu'il pouvait le voir de près, qu'il pouvait aussi, s'il l'avait désiré, le photographier de près et sous l'angle qu'il voulait. Ce regard sur quelque partie de la nudité d'Annick est justifié et son piercing pubien fait partie intégrante de la personnalité de sa nudité et n'a pas à en être censuré.
Le pubis reste encore de nos jours une partie taboue de la nudité ! Parce que la majeur partie des personnes n'en voient que sa composante sexuelle et ne peuvent le voir sous sa composante paysagère.

A suivre, ...

mardi 21 mai 2019

Droit de regard - 5


Bonjour tout le monde, 
Un regard recherché en tant que modèle nue ? Oui, sans conteste.
Poser nue, c'est comme la pratique du naturisme, cela doit se faire par plaisir personnel pour le bien-être intérieur que cela apporte. Annick adore poser nue pour le plaisir que cela lui apporte, un plaisir non sexuel, à nouveau, un plaisir intérieur. Et si on ne prend pas plaisir à ce regard de l'artiste qui se pose sur sa nudité, qui prend intérêt à sa nudité, poser nue devient une corvée, un déplaisir et le résultat de la séance de pose sera négatif tant pour la modèle que pour l'artiste ! On obtiendra des photos fades, sans âme.
Lorsque Annick s'en va poser toute nue dans un cadre artistique, elle sait que sa nudité va faire l'objet de toute l'attention de l'artiste. Et qu'elle va devoir prendre les poses requises par l'artiste parce qu'elle est là, nue, pour cela !
Elle va donc accepter ce regard direct, observateur, sans « vision interdite ». Dans la nudité artistique, il n'y a aucune zone de non-droit visuel, tout est à regarder, tout est à reproduire.
Si elle n'accepte pas cela, si elle n'aime pas cela, elle doit s'abstenir de poser nue. Mais je vous rassure, Annick adore cela, adore l'intérêt que porte l'artiste à sa nudité, à toute sa nudité. Quelque part, elle adore aussi sa curiosité sur sa nudité. Après tout, elle est sa modèle nue et elle a raison d'adorer !
Cela existe-t-il  des modèles qui n'aiment pas cela ? Oui. J'ai assisté un ami photographe dans une séance de prise de vue avec une modèle nue, en extérieur. Celle-ci, dès le départ, a dit à mon ami « je ne veux pas que mon pubis apparaisse sur les photos ». Alors, on ne pose pas nue, Madame ! Lorsque l'on pose nue, on pose sans condition car le chef d'orchestre, c'est l'artiste et pas vous.
Il y a donc bien une nudité naturiste qui n'est pas vécue pour être regardée par autrui même si ces regards existent et une nudité qui est vécue pour être regardée avant tout, reproduite ensuite.
On peut ne pas aimé le regard d'autrui dans le contexte naturiste et aimé ce regard de l'artiste dans le contexte artistique.
Nous sommes dans deux « espaces » différents même si ils ont pour point commun la nudité.
A suivre, ...



mercredi 15 mai 2019

Vision interdite ? 11


Bonjour tout le monde, 
Annick au bois.
En conclusion, laissons donc à tout un chacun le droit de vision et d'interprétation d'une œuvre d'art représentant la nudité, sans empêcher ce droit par une censure préalable.
Je suis fâché chaque fois que je vois certaines galeries de sites photographiques, soit de photographe, soit de modèle, dont l'accès requière un mot de passe parce que ces galeries renferment des photos de nu, même des plus académiques !
Pour ma part, je considère que si on publie de telles photos sur des sites photographiques de photographe ou de modèle, on doit en assumer la réalité des choses et non la limiter à celles et ceux qui obtiendront le mot de passe après avoir justifié leur demande.
De là, nos sites photographiques contenant des nus féminins ne sont en rien limités au niveau de l'accès aux photos. Si je n'ai pas envie que l'on voit certaines de mes photos, c'est tout aussi simple, je ne les publie pas ! Et s'il s'agit d'une modèle autre qu'Annick, je possède toujours une autorisation écrite de publication.
Alors « vison interdite » ? Jamais en ce qui concerne Annick et moi. Nous n'avons rien à censurer de nos réalités et nous profitons de nos arts pour les partager.

FIN.


vendredi 10 mai 2019

Vision interdite ? 10


Bonjour tout le monde, 
La vision du nu et puisque c'est de cela que cette série d'articles aborde comme sujet, du paysage pubien est donc bien un question personnelle et chacun(e) d'entre nous interprétera une œuvre d'art représentant la nudité, le paysage pubien à sa seule façon.

Regardez ces deux photos représentant Annick dans la même position. Elles étaient toutes les deux exposées l'une à côté de l'autre en exposition publique. Deux dames d'un âge avancé les regardent et l'une d'elle commente « autant j'adore la première, autant j' ai difficile à accepter l'autre ! ». L'autre dame lui demande pourquoi et elle répond « la première cache son pubis, l'autre l'éclaire et n'en cache aucun détail, cela me met mal à l'aise ».
Donc, ce n'est pas la nudité d'Annick, la position qu'elle adopte qui dérange mais la lisibilité, l'éclairage donné à son pubis. Qu'elle soit entièrement nue sur la première photo importe peu puisque son pubis n'est pas lisible, éclairé.
Mais dans la seconde photo, son pubis est lisible, éclairé ! Pourtant, l'éclairage donné au pubis d'Annick ne donne pas une vision sexuelle de la nudité d'Annick car sa nudité est passive et son regard se porte ailleurs que vers vous !
Nous sommes donc bien dans une vision paysagère de sa nudité et puisque c'est le sujet qui interpellait cette dame ; la vision paysagère de son pubis.

A suivre, ... 



mercredi 1 mai 2019

Vision interdite ? 9


Bonjour tout le monde, 
Dernière réflexion à ce sujet avant de conclure : l'interprétation de la photo ou de l’œuvre d'art.
Une lectrice de notre blog naturiste a écrit à Annick qu'elle était échangiste à la vision de cette photo d'Annick nue en train de tricoter assise sur une chaise sur la terrasse du mas que nous occupions dans un centre naturiste. Son affirmation avait pour base l'écartement des jambes d'Annick qui avait pour effet de donner vision sur son pubis. Donc, ajoutait cette aimable lectrice, le fait de donner vision sur son pubis avait pour message qu'elle était sexuellement accessible !
Pourtant, cette photo n'est qu'un arrêt sur image d'un instant de vie d'une femme nue en train de tricoter naturellement assise sur une chaise et dont le regard se porte sur ses aiguilles et pas ailleurs et que la pelote de laine, à terre, démontre qu'il ne s'agit pas d'une mise en scène.
Plus fort encore !
Une dame m'accuse un jour de photographier des jeunes filles nues mineures d'âge. Je m'en étonne auprès d'elle car cela n'a jamais été le cas et elle fait référence à cette photo.
L'histoire veut que cette jeune fille est la fille d'un couple d'amis. Elle désirait vivre une séance de prises de vue en studio avec moi qui l'avait déjà photographiée chez nous, à la maison, dans le cadre d'une soirée poésie qu'elle allait présenter. Pour cette nouvelle séance en studio, j'ai demandé et obtenu l'autorisation écrite des parents, ce qu'on appelle dans le milieu « une autorisation parentale ».
La dame en question faisait référence au fait qu'elle avait l'épaule dénudée, donc, qu'elle était toute nue. Déduction infaillible ! 

Et pourtant, voilà la photo qui démontre que cette jeune fille était belle et bien habillée, revêtue d'un débardeur à manches courtes qu'elle avait légèrement descendu sur son bras pour dénuder son épaule.
Comme quoi l'interprétation d'une photo n'est que le regard que chaque personne porte sur elle. Elle est parfois, même souvent, à des lieux de la réalité, de la vérité.

A suivre, ...