Revenons à mes articles sur la pose
nue.
Poser nue était donc aller vers plusieurs inconnues. A
commencer par aller à la rencontre de l’artiste.
Parce que l’artiste, en ce qui me concerne, je ne le
connaissais pas en dehors d’un échange de courriels qui fixaient préalablement
les modalités de pose. Tels que l’endroit, le jour, l’heure, le registre, le
projet, par exemple.
Chaque artiste devant avoir sa propre personnalité, sa
propre approche de la nudité, sa propre manière de communiquer. Cette fameuse
relation duelle dans laquelle l’artiste dicte et la modèle exécute. Qu’à ces
artistes, j’allais tout de même confier, ni plus ni moins, mon intégrale nudité.
Dans un contexte totalement différent du naturisme.
Chaque séance de pose allait donc être différente en regard
de ce relationnel duel.
Avec une autre inconnue de taille : ma nudité
allait-elle les inspirer ? Parce que je n’avais pas envie du tout de
modifier l’image de ma nudité, façonnée à ma seule envie.
Comme pour la pratique du naturisme, je n’avais pas envie de
modifier cette image de ma nudité que j’avais façonnée bien avant que je pose
nue pour Jean-François, bien avant que je commence à pratiquer le naturisme.
L’image de ma nudité, en qui me concerne, m’appartient et
n’a pas à varier suivant les circonstances. C’est ainsi qu’elle me plait et que
je me sens bien en étant nue. Et Jean-François abonde dans mon sens.
Nous verrons que la circonstance peut modifier cette vision
des choses.
A suivre, ...
A suivre, ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire