Ce qui est
amusant de constater, c’est qu’à la même époque, j’ai commencé à changer
régulièrement de coiffure
comme j’en faisais de même de ma nudité en l’aménageant pour qu’elle
corresponde à l’image que je voulais lui donner pour qu’elle me plaise. Parce
qu’il était indéniable pour moi, que cette image devait me plaire pour vivre
nue en mes murs. Pour me sentir bien dans ma peau. Cette quête de l’image de ma
nudité, je l’ai poussée à l’absolue nudité pour lui en donner toute la
visibilité, toutes les définitions, pour empêcher que quoi que ce soit ne me
permette d’en lire toutes les lettres.
Dans cette
mutation personnelle qui vise surtout l’esprit, j’ai commencé à vivre nue en
mon appartement. Dès la porte de mon appartement franchie, sans attendre, je me
dénudais totalement et je vaquais à mes occupations : préparer les repas,
m’occuper du nettoyage, repasser, regarder la télévision, lire, dormir, … Et
pour vous faire rire, mettre les murs de mon appartement en couleur, oui, toute
nue. Pas facile à ravoir la peinture sur mon corps en fin de journée !
Je vivais seule,
donc, je pouvais évoluer librement et selon mon seul ressenti. J’avais la
maîtrise de ma nudité domestique. Je pouvais donc apprendre à vivre nue à mon
rythme.
C’est là que
j’ai découvert que mon corps nu me parlait, me faisait part de ses émotions
surtout lorsque mon audace me poussait à me déplacer nue sur la terrasse, à
l’abri des regards.
Je me souviens de mes premières soirées d’été où je regardais les étoiles, assise, toute nue sur ma terrasse. C’est là que la salle de bain n’était plus un lieu de passage en vitesse mais devenait un lieu de bien-être. Je ne prenais plus ma douche en vitesse. Je prenais le temps de goûter au bienfait reposant de l’eau coulant sur ma nudité.
Je me souviens de mes premières soirées d’été où je regardais les étoiles, assise, toute nue sur ma terrasse. C’est là que la salle de bain n’était plus un lieu de passage en vitesse mais devenait un lieu de bien-être. Je ne prenais plus ma douche en vitesse. Je prenais le temps de goûter au bienfait reposant de l’eau coulant sur ma nudité.
C’est là que j’ai découvert cette formidable sensation de liberté de pouvoir
vivre nue en mes murs. C’est là que j’ai découvert le bien-être de vivre nue,
loin de l’habit.
Bien que !
En même temps que j’apprenais à vivre nue, je me féminisais au niveau de mes
tenues vestimentaires. J’éloignais de moi les pantalons pour préférer les robes
et les jupes. J’ignorais les chemisiers et tops ras du cou pour privilégier de
beaux décolletés. Plus la confiance en ma nudité s’agrandissait, plus
j’attachais de l’importance à son image, plus je vivais nue et plus j’apportais
de l’importance à mon image de femme habillée.
En réalité, je devenais
une femme plus épanouie, plus joyeuse, plus ouverte à la vie, plus attentive à
moi, à l’image de moi, plus confiante en moi, nue comme habillée.
A suivre, ...
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