L’envie était une chose, sa concrétisation en était
une autre. Car si j’étais aguerrie à la nudité collective par ma pratique du
naturisme, il s’agissait ici d’une relation artiste/modèle nue, duelle et
privée. Jean-François m’ayant fait savoir, dès le départ, qu’il ne
m’accompagnerait pas en séance de pose. Il avait pour principe qu’une séance de
pose, nue ou habillée, se réalise en face à face entre la modèle et l’artiste,
sans autre intervenant pour que la modèle se sente libre d’être.
Il s’agissait, comme je l’avais vécu avec Jean-François
17 ans plus tôt, de mettre ma nudité à la disposition d’un artiste habillé dans
un espace fermé et privé, comme, par exemple, un studio.
Vivre cette nudité artistique allait donc être
totalement différent que de vivre ma nudité naturiste. Car, comme Jean-François
me le disait sans détour, cette nudité est mise à la disposition de l’artiste
pour lui permettre d’en extraire ce qu’il en veut, artistiquement.
Cette nudité allait donc être mise en scène, ce qui n’est pas le cas dans la pose nue naturiste qui reproduit un instant de vie.
A suivre et belle journée à vous.
Cette nudité allait donc être mise en scène, ce qui n’est pas le cas dans la pose nue naturiste qui reproduit un instant de vie.
A suivre et belle journée à vous.
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