Bonjour tout le monde,
Difficile de nous suivre tellement il y a des articles en cours mais, c'est cela la vie. Les sujets ne manquent pas en regard de notre quotidien mais aussi des courriels que nous recevons de nos lecteurs. Notre blog ne désirant en éviter aucun.
Revenons à notre avancée dans notre pratique du naturisme.
Difficile de nous suivre tellement il y a des articles en cours mais, c'est cela la vie. Les sujets ne manquent pas en regard de notre quotidien mais aussi des courriels que nous recevons de nos lecteurs. Notre blog ne désirant en éviter aucun.
Revenons à notre avancée dans notre pratique du naturisme.
Sans être convaincue, elle accepta de tenter l’expérience. Mais dans un
petit centre de vacances et non dans ces usines « naturistes ».
Nous jetâmes notre dévolu sur un petit centre naturiste dans
la Drôme, en France : les « Routelles en Provence ».
Nous décidâmes de téléphoner à son propriétaire pour lui expliquer la situation. Annick fut étonnée par l’accueil chaleureux que nous reçûmes au téléphone, par l’attention particulière que Bernard, le propriétaire, réserva à notre demande et fut surprise de l’entendre dire qu’il nous réservait le colchique situé dans le mas avec tout le confort nécessaire et la proximité de tout ce qui vit dans le centre.
Après une nuit et une matinée de route épuisante, nous
sommes arrivés aux Routelles. Je sentais à mes côtés, Annick très nerveuse et
surtout très fatiguée. C’était, pour nous, le premier très long voyage avec
notre bébé. Ce qui n’est vraiment pas de tout repos même si, Coralline avait
dormi toute la nuit. Soulignons, car c’est important, la qualité des
relais-bébé sur les autoroutes françaises, à l’époque.
Accueil et qualité
impeccables !
Nous avons été accueillis par Jacqueline et Bernard, les
propriétaires qui étaient nus. Je le souligne car, c’est le seul centre
naturiste que nous avons fréquenté où ce fut le cas. Etonnant mais c’est comme
cela.
Immédiatement, ils nous invitèrent à prendre le verre de
l’amitié au bar avant de nous montrer notre logement. Nous étions restés
habillés alors que tout le monde autour de nous déambulait nu.
Le verre prit, une menthe à l’eau bien fraîche, Bernard nous
présenta notre logement et nous laissa Annick, Coralline et moi, prendre
possession des lieux.
Immédiatement, je me suis dénudé mais Annick n’en fit pas
autant. Elle prit le temps de faire le tour du logement, sans mot dire. A cet
instant, je me suis rappelé le jour où je l’ai vu disparaître dans sa cuisine,
me laissant seul dans son salon, avant de revenir, nerveuse, me présenter pour
la première fois sa nudité.
A suivre, ...
A suivre, ...
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