Ces premières vacances en espace naturiste résidentiel ont
tellement enchantées Annick, qu’elle a voulu y retourner les années suivantes.
1993.
Coralline continue à grandir dans cette culture naturiste. Maintenant, plus de parc, elle marche !
Notre fille ainée, Soum, pratique le naturisme mais sur les plages avant qu’en cette année 1993 elle nous accompagne aux Routelles, découvrant ainsi le naturisme résidentiel.
Coralline continue à grandir dans cette culture naturiste. Maintenant, plus de parc, elle marche !
Notre fille ainée, Soum, pratique le naturisme mais sur les plages avant qu’en cette année 1993 elle nous accompagne aux Routelles, découvrant ainsi le naturisme résidentiel.
La différence avec Coralline est qu’elle le découvre au
début de son adolescence. C’était, pour Annick et moi, une toute autre gestion
de la situation. Nous ne voulions rien lui imposer et Bernard avait été clair
avec nous : elle peut être en maillot ou en paréo, sauf à la piscine où la
nudité est imposée à toutes et à tous.
Nous ne comptions pas enfreindre la règle mais nous allions
devoir être à l’écoute totale de Soum et d’être attentif à ses moindres réactions
négatives, surtout à la piscine.
L’entrée dans l’adolescence est déjà une étape très délicate tant pour les
filles que pour les garçons dans la vie de tous les jours. C’est une étape encore
plus délicate lorsqu’elle se vit dans la pratique du naturisme.
Car le corps se transforme, parce que cela se passe aussi
dans la tête là où Coralline, enfant, ne pense à rien. L’adolescente est aussi
confrontée aux regards des autres sur sa nudité, aux regards des garçons en
particulier. Mais aussi aux réflexions, surtout des garçons. La moindre
réflexion négative sur cette nudité peut entraîner un blocage chez l’adolescente.
Faut-il dès lors que les naturistes adultes élèvent leurs adolescents dans le
respect de la nudité de l’autre !
Cela a été une étape très difficile pour Soum. Les présentes
photos le montrent à suffisance.
Dans l’eau de la piscine, tout allait bien, comme si l’eau était un refuge, un écran, une protection visuelle.
Mais dès qu’elle sortait de l’eau et restait sur le bord de la piscine, c’était tout autre chose, comme si elle se sentait démunie de toute protection visuelle.
Plus flagrant, elle ne nous quittait pas d’une semelle, n’allait jamais sans nous à la piscine.
Dans l’eau de la piscine, tout allait bien, comme si l’eau était un refuge, un écran, une protection visuelle.
Mais dès qu’elle sortait de l’eau et restait sur le bord de la piscine, c’était tout autre chose, comme si elle se sentait démunie de toute protection visuelle.
Plus flagrant, elle ne nous quittait pas d’une semelle, n’allait jamais sans nous à la piscine.
En dehors de la piscine, elle déambulait en maillot. Comme
la plupart des adolescent(e)s de son âge. Même si certains adultes, à majorité
masculins, trouvaient cela déplacé. Mais la règle de Bernard était réfléchie,
saine, intelligente et attentive au côté psychologique de la situation.
A suivre, ...
A suivre, ...
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