Ces premières vacances en centre naturiste ont transformé
Annick. Son état d’esprit s’est ouvert encore plus, sa confiance en elle aussi.
Son aisance en sa nudité augmentait jour après jour. Elle commençait à vivre
nue sans ne plus y penser. Je la voyais discourir avec les autres vacanciers
sans se soucier de sa nudité. Nous partions tous les trois, nus, promener dans
la montagne.
La piscine devenait un lieu familier pour nous.
Annick s’en émerveillait petit à petit : « être
nue du matin au soir et du soir au matin ! C’est tout autre chose qu’à la
maison ou à la plage ! » Jamais elle n’avait vécu cela. Elle
découvrait le naturisme résidentiel !
La présence de Coralline âgée d’à peine 9 mois, suscitait
l’attention des vacanciers. C’est qu’elle était toujours avec nous et souvent
dans son parc à essayer de se redresser. Ce qu’elle fit pour la première fois
quelques jours après notre arrivée.
Cet intérêt amenait Annick a dialogué avec tout le monde,
surtout avec les vacancières. La nudité sociale était à l’ordre du jour. Cette
nudité sociale marqua l’esprit d’Annick qui m’en parla. C’était incroyable,
pour elle, que tout le monde se parlait normalement, se tutoyait sans autre
formalité, sans même savoir ce que l’un et l’autre faisaient dans la vie
courante.
Elle en fut subjuguée un jour où Coralline, en promenade
avec nous au village, fut piquée au visage par une guêpe ! De retour en
vitesse au centre, nous en avons parlé à Bernard qui nous a répondu qu’il
suffisait de nous rendre à une tente dont il nous indiqua l’emplacement car il
y campait un médecin belge et sa famille !
Elle était subjuguée parce que rien n’aurait dit que ce
vacancier était médecin ! Il nous reçu avec simplicité, soigna Coralline
avant de discuter avec nous car, en réalité, il s’avéra qu’il habitait à une
vingtaine de kilomètres de chez nous, …
A suivre, ...
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