jeudi 18 février 2010

Un Néo-Zélandais demande à la justice de légaliser la pratique du vélo nu.

« Un Néo-Zélandais de 40 ans a demandé à la Cour suprême de son pays de légaliser la pratique du vélo dans le plus simple appareil.

Nick Lowe, un maçon de Wellington, a saisi cette instance pour contester l'amende et la condamnation qui lui ont été infligées à la suite d'une balade de cyclistes naturistes organisée l'année dernière sur une route rurale de l'Upper Hut, à 32 kilomètres de Wellington. Un automobiliste choqué avait appelé la police qui avait sévi. (EDR)
»

Je me suis déjà exprimé à ce sujet, soulevant le tollé de la part de certains « naturistes ». Lorsque l’on sait que se balader nue ou nu en dehors des espaces réservés à cet effet, que ce soit à pied ou en vélo, on sait que l’on s’expose à des sanctions pénales donc, à des amendes et/ou une condamnation.

En montant en état d’ivresse au volant de sa voiture, on sait les sanctions qu’on encoure si on se fait arrêter.

Donc, braver l’interdit c’est prendre le risque d’être pris et dans ce cas, en accepter les conséquences et non, par la suite, demander à la justice de légaliser la pratique !

Braver l’interdit, c’est aussi prendre le risque de choquer un non naturiste que l’on croise sans le vouloir, certes, mais cette éventualité existe dès le départ.
Et Annick et moi sommes attentifs à ne jamais choquer quelqu’un par notre nudité car nous pouvons comprendre qu’encore aujourd’hui, la nudité choque encore certaines personnes.

Alors, à titre personnel, je reste persuadé que la légalisation de la pratique du vélo nu ou de la randonnue partout est une utopie.
Je crois plus réaliste de faire reconnaître des espaces dédiés à cette pratique. C’est le fond de ma pensée sur le fameux projet de « plage naturiste » ou de « centre naturiste » aux barrages de l’Eau d’Heure en Belgique. Pensons à cette pratique et développons dans cet espace en projet, des lieux où il est possible de pratiquer ces activités saines en toute légalité.

En attendant, l’interdit est de mise et le braver est au risque et péril de celui qui le brave.

1 commentaire:

  1. Je n'ai jamais eu besoin, ni ressenti ce dernier, à me balader nu. Et lorsque j'entends des personnes prétendre qu'il faut être nu pour se sentir "bien dans sa peau", je dis ridicule(pour rester poli). J'ai vécu au propre comme au figuré au contact de la nature durant des années (le + proche voisin était à + de 3 km), habillé, et je ne m'en porte pas plus mal. Mais bon, respectons les autres avis !!!

    RépondreSupprimer