Qué tal Lanzarote ? (1)

 Bonjour tout le monde,

Non, vous ne rêvez pas, c'est bien moi !
Le 26 septembre dernier, nous étions Jean-François et moi chez mon médecin traitant pour faire le bilan des derniers examens médicaux que je venais de passer. Ils étaient très rassurants.

C'est alors que j'ai été surprise d'entendre Jean-François lui demander : "pouvons-nous partir en voyage ?" La docteresse lui répondit "où ?". "Dans les îles Canaries", lui répondit-il.

J'en fus surprise car il avait tout préparé en secret dans l'éventualité où l'accord serait donné et il était donné !

Le 3 octobre dernier, à 6H20' du matin, non sans une énorme appréhension, je montais dans l'avion en direction de l'île de Lanzarote.

Jean-François et moi vous avons déjà présenté nos voyages dans les îles canariennes de Fuerteventura, de La Gomera et de La Palma (pour cette dernière que nous devons continuer car interrompue par mes problèmes de santé).

Cette fois, c'est sur l'île proche de Fuerteventura qu'il m'emmène. Une nouvelle aventure commence pour nous mais pour moi, je m'inquiète sur ma capacité physique de la vivre. On verra !

 Nous allons donc atterrir à Arecife.

 Occasion pour Jean-François de photographier l'île du ciel !

 Tout était prévu par lui. A l'aéroport, en moins de temps qu'il faut pour le dire, nous prenions possession d'une voiture de location auprès de la firme Cabrera Medina dont les bureaux se trouvent dans l'aéroport même et la voiture sur le parking de l'aéroport !

Efficace et rapide.

Ensuite, nous avons pris la route pour Mozaga, au centre de l'île. Plus facile à dire qu'à faire car le vol avait été épuisant pour moi physiquement et que mon dos se rappelait à moi malgré les infiltrations subies la veille de notre départ.

Mais sur le parking d'un centre touristique prévu, une Mercedes 4*4 nous attendait avec une dame à son bord. C'était, je ne le savais pas encore, la propriétaire de la Casa Rural louée par Jean-François.

 Cette Casa Rural (même type de location que celle que nous avions utilisé à La Gomera et La Palma) se trouvait dans la petite commune de La Vegueta.

 L'itinéraire était assez compliqué parce que la Casa Rural se trouvait au fond d'un cul de sac dans une petite rue isolée au milieu des champs.

 Nous y voilà et pour moi, la surprise est de taille !

Je me retrouve devant cette énorme bâtisse entièrement murée.

 Au bout d'une allée arborée, je franchis la deuxième porte d'entrée de la maison, la première donnant sur un imposant parking fermé et privé.

Là, je tombe des nues ! Voilà ce que je découvre : une superbe piscine !
Je me rappelai alors mes paroles sur notre gîte de La Palma "ici, c'est le paradis mais il manque la piscine !". Il ne l'avait pas oublié, mon petit mari !

Que dire lorsque j'ai découvert le jardin ! Oui, vous ne rêvez pas, jusqu'à l'horizon avec ces volcans pour décor !

J'ai alors compris que durant deux semaines, nous allions vivre, ici, seuls, Jean-François et moi, sans voisin, dans un tel décor de rêve !

Voilà, je suis installée au bord de la piscine, nue comme j'aime l'être ! Oui, vous le constaterez, dans cette villa de rêve, nous y vivrons nus, du matin au soir et du soir au matin !

Cette fois, c'est moi qui vais vous raconter cette belle aventure car , oui, j'en suis revenue métamorphosée et en grande forme physique et morale.

A demain ,

Bises !