Bonjour tout le monde,
Nous reprenons la suite de nos articles consacrés à notre avancée pas à pas dans l'art de vie qu'est le naturisme.
1990, nous avons poursuivi notre randonnée dans le massif des
Ecrins.
Annick profitant de chaque instant possible pour offrir sa nudité à
l’air libre. Sa nudité, elle l’invitait maintenant chaque fois qu’elle le
pouvait, sans se poser de question. Et le photographe que je suis, était loin
de s’en plaindre.
De
retour de ce voyage en montagne, Annick s’impatiente de voir ses photographies.
Heureuse du résultat, elle me demande de faire agrandir ses préférées avant de
les encadrer pour continuer à orner les murs de l’appartement. Sa nudité
photographique est maintenant omniprésente pour notre plaisir à deux. Mais sa
joie, comme la mienne, est aussi d’entendre les commentaires élogieux sur ses
photos venant de nos amies et amis qui comprennent notre démarche artistique
sans toutefois aborder le thème du naturisme dont nous ne faisons pas écho.
Arrivait alors l’année 1991, une année exceptionnelle pour
Annick et moi. Le début d’année se passe à merveille avec un joli réveillon en
tête à tête à l’appartement, en toute nudité. Minuit sonne et le champagne pétille !
Plus merveilleux encore, Annick nue m’entraîne, malgré le froid, sur la
terrasse de l’appartement pour regarder, l’un à côté de l’autre, tels Adam et
Eve, le feu d’artifice tiré pas loin de chez nous. Annick est ancrée dans son
naturisme de couple.
Les premiers mois passent dans la joie et la
bonne humeur, jusqu’au jour où, au mois d’avril, Annick commence à s’inquiéter
de quelques signes de mutation de son corps !
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