J'espère que vous allez bien ! Poursuivons aujourd'hui cette série d'articles sur ma maternité.
Une nouvelle fois, le dialogue est ouvert, sans langue de bois. Ce n’est pas notre naturisme à la maison qui posait question. Nous y vivions tous les deux nus, en permanence et nous ne voyions pas de raisons de changer cette habitude.
Le questionnement portait sur le naturisme collectif, celui que nous pratiquions à la plage. Le regard des autres sur sa nudité n’était pratiquement plus un problème pour Annick. Mais, cette nudité allait se transformer au fil des semaines, allait prendre des formes plus « intimes ». Pouvait-elle se montrer aux autres sous cet angle ? Pouvait-elle vivre nue en pleine nature sans mettre en danger l’enfant qu’elle portait ?
Annick, qui en parlait très peu et uniquement avec des proches, dialoguait cette fois avec son gynécologue, sans mal-être. Son questionnement ne visait pas sa nudité mais bien l’impact de celle-ci sur le bébé comme le simple fait de se faire bronzer nue, comme elle l’aimait déjà à l’époque.
Il n’y avait donc pas de question idiote mais des réponses
concrètes à apporter. Et ce gynécologue génial lui apportait, en toute
normalité.
Grâce à cela, nous décidons de ne rien changer à nos habitudes
de vie. Car, à la réflexion, qu’est-ce que la nudité aurait eue pour
conséquence sur la grossesse d’Annick si ce n’est qu’être positive en regard du
bien-être qu’elle lui apporte !
J’adorais la voir tricoter dans cette même tenue, préparant
la layette du bébé ! L’appartement
était empli de bonne humeur et des rires d’Annick.
Mais qu’en est-il de nos habitudes naturistes en
extérieur ?
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