Nous le trouvons, là-haut dans la montagne, qu’Annick gravit le torse nu !
Nous découvrions dans le massif des Ecrins, que le
naturisme, ce n’était pas le sensationnalisme mais bien une forme de partage
entre l’Homme et la Nature. Que dans cette forme de naturisme, ce n’était pas
la nudité la Reine mais bien la beauté sauvage et grandiose de la Nature.
Dès lors, nous retrouvions dans les Ecrins ce que nous
avions découvert au Danemark. C’est l’Homme qui s’intègre à la nature et non
l’inverse.
Nous commencions à décrire une autre vision du naturisme, pas celui basé
uniquement sur la nudité collective et quelque fois outrancière.
La nudité collective nous semblait, tout d’un coup, à cent
lieux de ce que nous vivions.
Parce que vivre nu collectivement sur une plage n’apporte
pas cette dimension de l’humilité face à la nature. En fin de compte, vivre nu
collectivement sur une plage n’est peut-être rien d’autre que du nudisme. Et à
y réfléchir, c’est un fait lorsque l’on voit certaines personnes nues, saccager
les dunes pour s’adonner à d’autres plaisirs que celui de profiter de cette
belle nature sauvage et préservée par des gens qui aiment la nature.
Nous comprenons, la genèse de notre naturisme et soudain la
valeur de ce mot basique, de cette pierre angulaire du naturisme : LE
RESPECT !
Parce que là-haut, dans les Ecrins, ce RESPECT est
indispensable et fabuleux. Nous avons vu les marmottes, les chamois, les
immensités en étant en admiration.
En étant très petits. Nus.
Celui qui veut dominer la nature est en fin de compte un assassin car il tue notre planète nature !
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